ou la co-existence impossible
comme elle l’était il y a déjà plus de 20 ans….
Autant on peut “vivre ensemble” avec qui on veut ou qu’on veut pas et qui “il faut”, s’il le faut ou s’il l’on veut et même si l’on ne veut pas, autant il est superfétatoire de vouloir faire co-éxister 2 modèles économiques
qui ont pour seule finalité d’anéantir l’autre car condition sine qua non, et nous sommes bien dans ce cas de figure.
Si nous laissons passer les NBT, autant enterrer l’agrobio.
Communiqués de la FNAB
- 21 avril : 300 élus demandent à l’état de s’engager en faveur de
la Bio. - 28 avril : La future PAC enterre les promesses d’Émmanuel Macron sur
les services environnementaux.Pour lire la suite cliquez ici :
http://www.biaujardindegrannod.com/au-dela-des-bornes-du-jardin/pac-%3A-enterrement-des-aides-la-bioBiau Jardin de Grannod
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Blog d’informations agricoles et culinaires…
Point de vue Faucheur Volontaire
Et c’est pour cette raison que les Faucheuses et Faucheurs devraient, à mon sens, revisiter ce qu’en disait Jean-Pierre BERLAN concernant les OGM
Ce sont bien des CLONES, (biodiversité) PESTICIDES ( santé), BREVETES (économie du processus)
Ça me rappelle un petit voyage avec Najet à l’ INRA de Ploudaniel e 2019, où une ingénieure de recherche me parlait de son assurance- chômage … s’agissant de la capacité du pathogène à se recombiner .. au bout de 3 ans.pour anéantir son ” travail.”
et donc de l’avenir de ce type de “recherche”… C’est quand même un boulot de “chercher’….
ça me rappelle aussi que mon grand-père ne semait pas du blé n’importe où, qu’il préférait mettre de l’avoine en haut des terres en pente, de l’orge au milieu de la pente et du blé en bas de la prairie.
On m’a fait faire un TP en école d’ITA, dans une Grande Ecole d’Agronomie, pour redécouvrir la même chose mais avec un tracteur équipé d’une herse dont les dents envoyaient une impulsion électrique reçue par des capteurs mesurant la ” résistivité” du sol pour savoir où il “était possible de semer de l’avoine, du blé ou de l’orge…
C’est tout dire de la capacité de l’agro-business informatisé de résoudre nos problèmes…
Le savoir agronomique de nos informaticiens, certes très doués, surpasse -t-il celui de nos paysans travailleurs?
à quel coût et pour quel résultat?
Bon, à réfléchir..
@tchaojil