LOA (Loi d’Orientation Agricole) : mobilisation de RAFU (Résistance Aux Fermes Usines) et d’autres Organisations

Projet de Loi d’orientation agricole de l’agrobusiness

La LOA pose les conditions du mal être paysan et d’une agriculture toujours plus industrielle, en favorisant notamment l’implantation des méga bassines et des fermes usines !

👉 Dès ce mercredi 3 avril, nous nous sommes mobilisé.e.s lors de la présentation du projet de loi en conseil des ministres, mais nous devons ensemble préparer l’acte 2 de cette mobilisation, enjoindre les députées à refuser en bloc le projet, faire connaître le danger de se texte et porter haut nos revendications pour l’agriculture de demain.

Tribune à signer :

Mobilisons nous contre le projet de Loi d’Orientation Agricole

Paysan-ne-s et Ecologistes : mobilisons nous contre la Loi d’Orientation Agricole conçue par et pour l’agro-business et exigeons des mesures qui répondent à la détresse des paysan-ne-s et du Vivant

La loi d’Orientation Agricole, avec près de 6 mois de retard et des annonces multiples a été présentée ce mercredi 3 avril en conseil des ministres. Elle sera débattue à l’Assemblée nationale à partir du 13 mai.

Au lendemain des manifestations agricoles, le gouvernement avait promis cette loi d’orientation agricole, qui devait être le tournant agroécologique tant attendu, une loi pour les générations à venir, sociale et écologique. Mais ce qui est présenté aujourd’hui ne reprend qu’une seule partie des revendications, et vise à “libérer et simplifier l’exercice des activités agricoles” bien plus que de planifier l’agriculture de demain.

Mais simplifier pour qui ? Dans le corps du projet de loi, on ne retrouve aucun revenu paysan fixe, aucune mesure de transition agro-écologique concrète, aucune assurance d’un renouvellement des générations d’agriculteurs et d’agricultrices, aucune mesure de régulation du foncier. Bien au contraire il s’agit d’accélérer le train de l’agriculture industrielle, qui comme nous le savons va droit dans le mur.

Ici, la simplification n’est pas synonyme de raisonner la taille des parcelles, de revenir à des outils à échelle humaine, de cultiver selon nos besoins, de limiter l’exportation qui se fait à des milliers de kilomètres. La simplification, se fait ici, à l’instar des récentes évolutions du droit de l’urbanisme, au détriment de l’environnement et du droit de recours.

Ainsi dans l’article 1er du projet de loi, on peut lire « l’agriculture, la pêche, l’aquaculture et l’alimentation sont d’intérêt général majeur ». Mais, entre les lignes, il faut comprendre que cela permet de faire passer le droit à produire devant le droit à un environnement sain, le droit au partage de l’eau, le droit à la qualité de l’air et de l’eau, en permettant ainsi de déroger aux obligations dans ces domaines.

De la même manière, l’article 15 du projet de loi suggère de ne pas annuler les projets illégaux dès lors qu’il s’agirait “d’ouvrages hydrauliques” – entendre méga-bassines – ou d’élevages – entendre fermes-usines. Il permet à ces projets d’être régularisés mais aussi d’accélérer les jugements dès lors que des refus d’autorisations administratives permettant à ces projets de s’implanter ou de s’étendre, seraient contestés. Dès lors c’est en rognant sur le droit de l’environnement que se construit cette soi-disant simplification, qui une fois encore précarise davantage la grande majorité des producteurs agricoles et n’avantage que ceux qui ont les moyens, l’exploitation de taille suffisante, ou le désir d’industrialiser toujours plus l’agriculture.

Dans la même veine et afin que cela soit toujours plus simple et toujours moins débattu, le gouvernement s’ouvre par l’article 17 la possibilité de prendre seul des mesures permettant de légiférer autour de l’élevage aquacole. Enfin le projet de loi ouvrirait aussi la possibilité de faire passer par voie  de décret un certain nombre de mesures comme la réduction des délais de recours ou relever les seuils des bâtiments d’élevage soumis à autorisation environnementale. Il s’agirait bien ici de doubler ces seuils d’ores et déjà alarmants, faisant par exemple passer un élevage soumis à autorisation de 40 000 à 85 000 volailles.

L’accès de la population à l’information environnementale ainsi que sa capacité à participer au devenir de son lieu de vie sont confisqués. C’est encore ici une facilité, adressée non pas aux agriculteur.rices, mais bel et bien aux plus gros agro-industriels et à leurs filières qui sont les vraies commanditaires d’élevages toujours plus gigantesques.

C’est pourquoi nous invitons les députés à refuser en bloc le projet de loi mortifère que propose le gouvernement allié à l’agro-business.

 Car nous voulons et exigeons une loi d’orientation agricole pour l’avenir,  qui prenne en compte la réalité des exploitations, la réalité de l’environnement et la réalité sociale de la situation des paysan.nes. 

Une LOA qui permettra la transmission et la reprise de fermes à taille humaine, évitant l’engrenage des dettes et la dépendance aux subventions. 
Une loi qui favorise avant tout l’installation des projets agroécologiques en lien avec les territoires, qui fixe un revenu paysan et qui soit profondément sociale pour que celles et ceux qui nous nourrissent ne soient pas esclaves de l’exportation et de l’agro-business.
Une loi qui respecte les ressources et le vivant et donc qui impose un moratoire tant sur les projets de fermes usines que sur les mégabassines. 
Une loi qui prend réellement parti vers l’instauration d’une sécurité sociale alimentaire à l’échelle nationale. 
Enfin une LOA démocratique, dont les mesures sont l’écho des revendications populaires et paysannes et qui soit à l’avantage de toutes les fermes. 
Un tel projet pour qu’il ait du sens ne pourra pas opposer notre environnement et les communs à une agriculture pérenne.

Nous donnons rendez vous, le jour de l’entrée du projet de loi au sein de l’hémicycle, à toutes les forces qui refusent un modèle agricole qui nous broie. Nous serons devant l’Assemblée Nationale et devant les permanences des députés partout sur le territoire pour défendre l’agriculture de demain  !

Nous serons également mobilisés dans les prochains mois, pour contester ce projet sur le terrain, en demandant l’abandon des projets de méga-bassines et de fermes-usines qui on le sait passent en force au mépris du droit et des populations impactées !

Premiers signataires :

Bassines Non Merci
Résistances Aux Fermes Usines
Terres de luttes
Greenpeace
Riposte Alimentaire
Changement de régime
ANV COP 21

ATTAC
Alternatiba

L’Atelier Paysan

COMBAT MONSANTO
Notre Affaire A Tous
PIG BZH

Avec d’ores et déjà Résistances Aux Fermes Usines, Bassines Non Merci, Terres de luttes, Greenpeace, Riposte Alimentaire, Changement de régime etc. nous vous proposons cet appel à mobilisation pour signature avant jeudi 4 avril
https://framaforms.org/mobilisons-nous-contre-le-projet-de-loi-dorientation-agricole-1712045553

La marrante, elle résiste !


	

Lancement de la pétition “L’APPEL DE LA ROCHELLE Pour une véritable transition agricole et un plan de sortie des pesticides de synthèse !”

Lancement de la pétition !! 

Cette pétition fait suite à la Tribune “ Nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas “.

Pour mémoire

Tribune: nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas !

 

 

Pétition

L’APPEL DE LA ROCHELLE
Pour une véritable transition agricole et un plan de sortie des pesticides de synthèse !

https://you.wemove.eu/campaigns/l-appel-de-la-rochelle-pour-une-veritable-transition-agricole-et-un-plan-de-sortie-des-pesticides-de-syntheses

 

Vous pouvez dès à présent la signer et la partager au maximum dans vos réseaux, à vos adhérents et à vos partenaires.

POUR LES SIGNATAIRES : Merci de nous confirmer par retour de mail votre volonté de co-signer cette pétition et de nous joindre vos logos. Nous les rajouterons dès confirmation.

N’oubliez pas de réserver votre weekend du 16 /17 Septembre pour participer massivement à la marche que nous organisons à La Rochelle dès 14h suivi d’une soirée conférence ( infos à venir )

 

Tribune : nous sommes les Soulèvements de la Terre. On ne dissout pas un mouvement.

En réponse à la répression policière, militaire que le gouvernement nous fait subir, pour étouffer les contestations sociales, écologiques, nous appelons à signer la tribune :

Nous sommes les Soulèvements de la terre

Nous nous soulevons, chacun.e depuis notre endroit, chacun.e à notre manière.
Le mouvement des Soulèvements de la Terre ne peut pas être dissout car il est multiple et vivant.
On ne dissout pas un mouvement, on ne dissout pas une révolte.

Nous appelons toutes et tous à nous rejoindre pour rendre caduque cette tentative d’étouffement.
Nous sommes, toutes et tous ensemble, les Soulèvements de la Terre.

Signature de la tribune sur le lien suivant  https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/nous-sommes-les-soulevements-de-la-terre

Tribune collective : l’alimentation de tous doit être biologique

TRIBUNE

L’alimentation de tous doit être biologique :

16 organisations et 69 entreprises signent un texte commun

Soutien au développement des filières d’agriculture bio
à partir des régions.

Les analyses savantes d’économistes sur la crise que traverse la bio, la réduisant à une niche de marché, relèvent d’une pensée qui considère
que les lois du marché surdéterminent tout le reste, et cela même
quand leur application hégémonique entraîne la dépendance envers des régimes hostiles, quand des pénuries conduisent à des famines,
ou encore à la destruction des écosystèmes, constituant ainsi une menace pour l’avenir de l’humanité.
C’est une pensée hors sol, et désormais dangereuse.

C’est cette même pensée de courte vue qui conduisait, il n’y a pas si longtemps, l’ancien ministre de l’agriculture, Stéphane Travers, à
supprimer les aides de la PAC à l’agriculture biologique au prétexte que son marché était en croissance : raison pour laquelle aujourd’hui des agriculteurs qui ont fait le choix de la conversion en bio font face à des
difficultés économiques.
« En même temps », cette soumission de la décision politique au
tout-marché conduit, sans peur de la contradiction insensée, à subventionner des fermes usines, des méga-bassines, des méthaniseurs, à favoriser la concentration des exploitations tout en cherchant des solutions
pour redynamiser la vie rurale, à dépenser sans compter de l’argent public pour ramasser des algues vertes sur les rives, pour dépolluer l’eau, pour soigner les personnes rendues malade de manger et produire ce qu’il ne convient plus d’appeler des aliments, en bref, à tenir à bout de bras un modèle dans la triple impasse économique, écologique et sociale.

L’invocation du marché, c’est l’argument fataliste, celui de la résignation. S’il avait fallu que les acteurs de la filière bio attendent que le marché soit prêt pour s’engager, il n’y aurait pas de marché de la bio !
C’est d’abord parce que la bio porte un projet de société que ce marché s’est créé (et non l’inverse !), grâce à des acteurs qui ont pris des risques professionnels et financiers pour garder une cohérence professionnelle.

Mais nul n’est dupe, l’invocation du marché, c’est aussi l’argument cynique, la ritournelle – qui accompagne les appétits féroces de
l’agro-business, pour désosser la filière bio à coups de contrats d’intégration.

La qualité de l’agriculture biologique est certaine ; elle doit encore évoluer, et rehausser son niveau d’ambition afin de pouvoir rendre toutes les agricultures biologiques.
Rehausser son niveau d’ambition pour que les producteurs bio n’aient plus à payer pour la mise en marché de leur production, pour que la biologie soit la règle dans toutes les pratiques agricoles, et que l’usage de pesticides et d’herbicides soit interdit par la loi.
Rehausser son niveau d’ambition pour que les consommateurs n’aient pas à endosser sur leurs seules épaules le manque de responsabilité politique. Rehausser le niveau d’ambition en refusant qu’un Français sur dix soit contraint à l’aide alimentaire, en exigeant une meilleure répartition des richesses.
Redisons-le : la « démocratisation de la bio » vantée par la Grande Distribution en ubérisant l’ensemble du monde du travail est une escroquerie.
Et on ne peut que déplorer que, depuis des années, les gouvernements successifs, en lien avec l’agro-business, aient dénigré systématiquement la certification AB en la mettant en concurrence avec d’autres labels bien moins engageants (agriculture raisonnée, HVE).

Rehausser le niveau d’ambition bio, c’est travailler avec le vivant, renforcer d’un côté la compréhension biologique des espèces animales et végétales, leurs interactions ;
c’est combattre de l’autre les politiques agro-alimentaires d’artificialisation du vivant par des OGM (anciens ou nouveaux).
Ne pas soutenir dès maintenant la filière bio, c’est annuler des années de politiques locales qui ont accompagné les conversions en bio, c’est abandonner l’idée même de transition pourtant vitale.

Après la canicule vécue cet été, face à l’urgence climatique, le développement des filières bio reste plus que jamais un impératif
écologique, sanitaire et géopolitique de premier plan.
En effet, cela permettrait de ne pas dépendre de l’importation, ni de faire de
l’alimentation une arme pour asservir un peuple.

Or les engagements politiques nationaux sur la bio ne sont pas effectifs. A titre d’exemple, en 2009 lors du Grenelle de l’environnement, l’engagement était d’atteindre 20 % de produits bio en restauration collective en 2022, engagement rappelé dans la loi EGAlim en 2018…
Aujourd’hui, c’est à peine 6 % !

Rappelons que la bio, c’est d’abord et avant tout un projet de société qui doit être soutenu par des politiques publiques à l’échelle des territoires.
Par des élus qui ne doivent pas oublier que leur fonction est d’abord de servir la population.
Par des élus dont la charge est d’accompagner la structuration de rapport de
force afin de ne pas laisser les agriculteurs, les militants écologistes, les consommateurs, les syndicalistes, les transformateurs et les détaillants assumer seuls leur responsabilité, à se confronter seuls à la répression du
gouvernement ou encore à s’entredéchirer.
Ce projet de société se construit donc sur la base de rapports de force et de dialogue, cela doit conduire à des politiques publiques qui mobilisent les investissements massifs pour reterritorialiser les filières alimentaires à partir des régions.

Redisons la nécessité de :

  • l’aide aux agriculteurs biologiques et à la conversion
  • l’interdiction des pesticides
  • une politique foncière, encourageant l’installation en bio plutôt que l’agrandissement
  • la mise en place, à l’échelon des régions, d’une sécurité sociale de l’alimentation
  • la construction d’un système de distribution alimentaire résilient et efficace, basé sur la coopération entre acteurs régionaux plutôt que sur l’intégration.

Nos adversaires sont organisés et solidaires, à nous de l’être, luttes et initiatives doivent travailler de concert.

Retrouvez cette tribune, et plus encore, sur le site de MINGA :

http://minga.net/lalimentation-de-tous-doit-etre-biologique/

Premiers signataires :

Organisations :

Minga, Nature & Progrès, Bassines Non Merci , Le
collectif Bretagne contre les fermes-usines, La
confédération paysanne du Finistère, L’Alliance des
Cuisinier·e·s, Université des sciences et des
pratiques gastronomiques, Halte aux Marées
Vertes, Pisseurs.sseuses Involontaires de
Glyphosate BZH, Les faucheuses et faucheurs
Volontaires d’OGM de Bretagne, Normandie
Équitable (collectif de 60 producteurs,
commerçants, artisans et entreprises engagées en
Normandie), Initiative Bio Bretagne, Confédération
Paysanne du Morbihan, Bretagne Vivante,
La Maison de la Bio (rassemble des organisations
professionnelles de producteurs, transformateurs
ou distributeurs de produits biologiques),
Confédération paysanne d’Ille-et-Vilaine.

Entreprises :
Elles couvrent un large éventail de métiers (maraîchers, céréaliers, éleveurs, artisans semenciers, détaillants, brasseurs, restaurateurs, paludiers, grossistes, importateurs, boulangers, transformateurs…) et de statuts (agricole, artisanal, coopérative, GAEC…)

Azade l’épicier grossiste bio et solidaire du Nord de
la France, la pépinière des fruits des fleurs (le
Saint), Scic les 7 épis Biocoop (pays de Lorient), les
Racines de Ciel -ligne de vêtements écologiques-
(Quimper), Scic « Graines de Liberté – Hadoù ar
Frankiz » (Quimper), SolAlter Importation et
distribution de produits biologiques d’Équateur
(Saint-Privat 07), la SCOP Aux Ateliers De La
Liberté – l’Oie gourmande biscuiterie (Saint-Girons),
la Scop La Falue Boulangerie (Caen), Scop
Soleimiel – gamme de produit a base de miel (Port
Sainte Marie), SCOP La clef des champs Biocoop
(Landerneau), la société coopérative BIOCOOP
nationale, SCOP Le Courtil Bio Biocoop (Lamballe),
Terra Libra – Importateur et grossiste biologique
engagé pour l’agriculture paysanne et des
échanges équitables (Betton), Scop La Belz’Saison
Biocoop (Belz), Youpi au Théâtre, restaurant
(Gennevilliers), BOURGEONS – cultures végétales
(Plouhinec 29), ID BIO importateur commerce
équitable (Baixas), BaraTi’Pain, boulangerie
(Baratier), MEUH COLA – LiMeuhnaderie artisanale
de Normandie, La Cambuse « Chez Carlotta » –
restaurant (Dieppe), La Cantine de Babel – traiteur
(Cherbourg-en-Cotentin), Fourchette et bicyclette –
traiteur (Saint-Nazaire), Comptoir du théâtre –
Cuisinier indépendant (Quimper), Anatole –
restaurateurs en transition (Bordeaux), Le Magasin
Général – restaurant, (Bordeaux), La Belle Saison –
restaurant (Bordeaux), Les chantiers de la Garonne
– restaurant (Bordeaux), L’école La source – école
de cuisine (Bordeaux – Pantin), Myrtille & Olive –
épicerie bio de quartier (Nantes), Biogolfe –
Biocoop (Vannes), EURL Popotes et Partages
(Villenave-d’Ornon), La decouverte (VAL-DU-FABY),
la SCIC gens de la fontaine, location d’espaces
d’activité (Rostrenen), la SCOP “CARTE BLANCHE”
cantine artisanale en circuits courts à Chaucenne
(25), SARL Le Pain De La Semaine – L’Atelier de
Boulangerie de Restalgon (Le Faouët), SARL La
Moulinette – café, restaurant, bar et lieu culturel
(Lille), Restaurant LA TABLE DE MORVAN
(Gourin), la SCOP Les Fournils des Lacs (BOURG-
LES-VALENCE), la SCOP Brasserie Sylvatica
(COUNOZOULS), La Paysanne de l’Artois – Ferme –
Brasserie – Malterie (Gavrelle), Scea La Ferme Bio
Du Resto (Ploemeur), Agri Bio Conseil- Négoce
agricole spécialisé en agriculture biologique (Bain-
de-Bretagne), le pain levé SCOP boulangère – pain
100 % bio sur levain naturel (Courcy), SALDAC
importateur de commerce équitable de produits
alimentaires du Pérou (Montélimar), Le Verger de la
Reinette- produits pur jus à base de pommes
(Préaux du Perche), Le Fournil Bio (Villeneuve
D’Ascq),Ty Vrac – épicerie vrac (Trégunc), Du
chemin au jardin – Ferme maraîchère (Gourin), Un
Autre Chemin – réseau 5 magasins bio (Haut de
France), El’Cagette- groupement d’achat (Roubaix),
Le Jardin des Thorains, ferme agricole, semences paysannes (Lavau), ABC BIO – magasin Bio
(MARLY), SCOP – BIOMONDE VAL DE SCARPE –
magasin bio (SAINT LAURENT BLANGY),
Autrement bio – Biomonde – magasin bio (Bailleu),
magasin BIO M’ BIOMONDE (Chauny), We Vrac –
L’épicerie responsable (Brunoy),Croc la Vie –
cuisine et livre des repas frais 100% BIO
exclusivement aux structures d’accueil Petite
Enfance (Hauts-de-France), La Vie Claire – Magasin
bio – (Plouhinec), Café Participatif Bois Blancs
(Lille), Couleur Vrac, épicerie bio (Créteil)
Potj’ Café SARL, Torréfacteur de café et orge bio
(Godewaersvelde), Le Tendre – restaurant (lille),
l’atelier du sel – Paludiers Indépendants
Producteurs-Récoltants associés en G.A.E.C familial
((Saint Molf / Guérande), Épicerie indépendante
(Saint-Ouen), Le Jardin du Bout du Monde,
Pépinière (Plonéour-Lanvern), SCIC Scarabée
BIOCOOP (Rennes),

 

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Sur le sujet, retrouvez l’interview sur Radiobalises  d’Emmanuel Antoine (Minga) et de Mikaël Coroller (Biocoop 7 épis)  La Bio en crise ?

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Et pour mémoire sur le sujet, retrouvez le Communiqué de presse publié le 9 janvier dernier par le Collectif de Soutien aux Victimes des Pesticides de l’Ouest :
CP du CSVPO : Crise du bio : sortir du silence

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Rendez vous le 20 mars à Rennes …

Tribune: nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas !

Tribune – Nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas – 15.09.2022

 

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