Rencontre débat avec Inès Léraud et Michèle Rivasi – 10 juillet – Hillion

Un rendez-vous à ne pas manquer !

Le Comité de soutien à la journaliste Inès Léraud organise

Une rencontre-débat avec d’Inès Léraud et de la députée européenne
Michèle Rivasi

    le vendredi 10 juillet 2020
à partir de 14h
dans la ferme Les mouettes
37 rue du pont Rolland
Hillion

Autour des thèmes suivants :

 

Défendre la liberté d’informer sur le secteur agroalimentaire.

Algues vertes, un scandale permanent  dénoncé par des associations
environnementales mais aussi des scientifiques indépendants. (Témoignage en vidéo-conférence de Pierre Aurousseau ancien Président du Conseil scientifique de l’environnement de Bretagne (CSEB).

Sortir du modèle agricole productiviste néfaste pour les paysans, les
salariés de l’agroalimentaire, les consommateurs, et l’environnement.
(Le contre-exemple de la SICA de Saint Pol de Léon).

Merci de faire circuler cette informations dans vos réseaux.

Le Comité de Comité de soutien à Inès Léraud.

Alerte : nouvelle tentative d’interdiction des semences anciennes

Les lobbies à l’action à la Commission Européenne

Remise an cause de l’article 10 de la loi EGALIM

Alerte parue sur le site du CRIIGEN, le 4 /07 / 2020 : EGalim – Semences de variétés anciennes à nouveau sur la sellette ?

«L’article 10 de la loi « EGalim » autorise la vente des semences anciennes pour les particuliers.
Pourtant promulguée le 10 juin 2020, le ministre de l’agriculture français, Didier GUILLAUME, s’est empressé de la transmettre, sans y être obligé, à la commission européenne, laquelle, docile, a exaucé les vœux des semenciers et l’a refusés.
C’est la troisième fois que cette loi est votée et rejetée de façon non démocratique par des instances actionnées par le lobby semencier ! Voici un communiqué d’un ensemble de structures agissant pour la sauvegarde de la biodiversité cultivée. »

EGalim – Semences de variétés anciennes à nouveau sur la sellette ?

Communiqué de presse de structures agissant pour la sauvegarde de la biodiversité cultivée

https://criigen.org/wp-content/uploads/2020/07/2020-07-03_CP-semences-EGALIM.pdf

Surveillance des militants écologistes : coup d’accélérateur

Cette semaine, coup sur coup, nous apprenons la mise en oeuvre de plusieurs cellules de surveillance / flicage des militants écologistes, accusés de procéder à de l’agribashing.

Alors que Christiane Lambert, réélue pour 3 ans à la tête de la FNSEA annonce un mandat “offensif”, les préfectures mettent en place leurs observatoires de l’agribashing

En Ille et Vilaine :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/observatoire-agri-bashing-ille-vilaine-1848848.html

https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/agribashing-bretagne-agriculture-association-ecologie-environnement-1593681675

 

En Loire Atlantique :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/loire-atlantique-prefecture-installe-observatoire-departemental-agribashing-1772807.html?fbclid=IwAR0jQnB1WNlUYAOwtcFp415BurhKEV786p2jredYudhyphnEEYIADNhS7dk

 

Et, pour rappel,

Déjà en février 2020, le site Reporterre dénonçait la surveillance : https://reporterre.net/Demeter-la-cellule-de-la-Gendarmerie-qui-surveille-les-opposants-a-l-agriculture

En Morbihan

La toute nouvelle cellule sitôt créée est dénoncée par la Confédération Paysanne 56, le mouvement des Coquelicots et les Faucheurs Volontaires
https://www.letelegramme.fr/morbihan/vannes/agribashing-la-confederation-paysanne-denonce-la-cellule-demeter-30-01-2020-12491019.php

Dans le Finistère

Le tout nouvel élu à la FNSEA,  Jean Alain Divanac’h (président de la FDSEA29) tenait, dans son édito du 13 /01/2020,  des propos pas très bienveillants à propos des militants écologistes.
Vocabulaire musclé :  “isolons nos détracteurs“, “Dans nos campagnes, dans les mairies, dans les écoles, dans les associations, ne laissons plus d’espace aux pisseurs involontaires, aux coquelicots, à L214 et compagnie” …

Pour mémoire, l’édito du 13/01/2020, par Jean Alain Divanac’h

Source : site Internet de la fdsea29

“En débutant dans le métier d’agriculteur, lequel d’entre nous pouvait imaginer qu’une telle pression allait s’abattre sur notre profession, jusqu’à menacer la sécurité de nos exploitations ? Sous le prétexte de la préservation de l’environnement et du bien-être animal, les groupuscules extrémistes, relayés par des élus politiques et des personnalités médiatiques, ont peu à peu essaimé dans notre société. De la morale du lundi sans viande, on est passé au repas végétarien réglementaire dans les cantines scolaires… et aux opérations barbecue devant les écoles !
Que ce soit sur la question de l’utilisation des phytos, des intrusions dans les élevages par des groupuscules antispécistes, d’une médiatisation à charge contre l’agriculture, et du dénigrement de notre métier, nous ne pouvons guère compter sur l’appui des élus politiques. Peu importe qu’ils  soient députés, sénateurs, conseillers départementaux, conseillers régionaux, non seulement il n’y a pas de soutien à tous les types d’agriculture ; mais en plus, chacun dans leur champ de compétences, ils tentent d’ajouter des contraintes ! Seule une FDSEA forte est à même d’endiguer ces pressions politiques. Notre travail d’influence, qui trouve appui dans le réseau FNSEA, est quotidien, peu visible pour nos adhérents, mais indispensable.
Nous allons devoir compter sur nos propres forces pour isoler nos détracteurs. Dans nos campagnes, dans les mairies, dans les écoles, dans les associations, ne laissons plus d’espace aux pisseurs involontaires, aux coquelicots, à L214 et compagnie. A l’approche des élections municipales, notre présence et notre implication doit clairement se faire ressentir. La charte riverains liée à l’utilisation des produits phytosanitaires sera bien évidemment un enjeu à part entière, dont le local devra s’emparer auprès des maires. Notre travail de conviction et de communication positive auprès de nos concitoyens appelle aussi des actions plus diverses, et qui s’inscrivent dans la durée.
Notre réseau FDSEA, fort de son maillage territorial, a la capacité de démultiplier des actions et d’étendre ainsi notre sphère d’influence. C’est au local que nous trouverons des alliés, qu’ils soient dans les conseils municipaux, dans les sociétés de chasse, dans les associations scolaires et sportives. Pour appuyer le réseau local, la FDSEA proposera des argumentaires et des outils de communication. Notre chantier collectif pour 2020 sera de renforcer notre force de frappe sur tout le territoire en démultipliant les actions. Le rôle de la FDSEA sera d’organiser la stratégie du réseau, d’apporter de la cohérence, et de donner de la matière. Pour chaque action menée, soyons fiers d’afficher notre appartenance à la FDSEA du Finistère ! Tout seul, on va plus vite. Ensemble on va plus loin !”

 

Déontologie : Explosion à l’ANSES … !!!

En France, nous apprenons par le Canard Enchainé du 24/6/2020, que l’évaluation du Roundup-glyphosate, demandée par Macron à l’ANSES, il y a un an et demi, est, enfin, en voie de réalisation pour 1,2 millions d’euros.

Mais confiée, en dépit des préconisations du Comité de déontologie et de prévention des conflits d’intérêts aux mêmes responsables de labo qui avaient décidé précédemment de l’innocuité du glyphosate lors de la précédente étude de l’ANSES pour la nouvelle réautorisation de mise en marché du glyphosate en 2017.

Du coup le Comité de déontologie et de prévention des conflits d’intérêts a volé en éclats …

explosion à l'ANSES
Explosion au comité de Déontologie et de Prévention des Conflits de l’ANSES

https://www.lecanardenchaine.fr/

 

 

 

Comité de déontologie et de prévention des conflits d’intérêts,

U S : BayerMonsanto achète les victimes du Roundup

Roundup : Bayer annonce un accord d’indemnisation de 10 milliards de dollars avec près de 100 000 plaignants américains

Le règlement annoncé porte sur environ 75 % des procédures engagées aux Etats-Unis contre le Roundup et d’autres produits à base de glyphosate, dont le groupe allemand a hérité lors du rachat de Monsanto, en 2018.

Article paru dans Lemonde.fr, le 24 juin 2020
https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/06/24/roundup-bayer-annonce-un-accord-d-indemnisation-de-10-milliards-de-dollars-avec-pres-de-100-000-plaignants-americains_6044055_3234.html

et hop …

Remontée de l’action Bayer-Monsanto à la bourse de Frankfurt

Alors qu’en Bretagne, depuis de nombreuses années, les avis d’obsèques, dans la presse quotidienne, concernent, tous les jours, entre 20 et 25% des personnes qui ont moins de 60 ans ( celles que l’INSEE appelle “les morts précoces “)
et que l’on peut y lire, à chaque fois ou presque, les remerciements des familles aux différents services hospitaliers, et le plus souvent aux services d’oncologie, ceux donc qui ont affaire aux différents “krign bev”, les cancers “mange-vivant”…,
il est intéressant de se poser la question de savoir ce qui se passe à la bourse de Frankfurt?

On y découvre que l’action de Bayer-Monsanto remonte, qui avait perdu quasiment la moitié de sa capitalisation boursière l’an dernier, ayant dû payer des millions de dollars pour empoisonnement par le Roundup-Glyphosate aux Etats-Unis…
Cela avait sérieusement refroidi les ardeurs des actionnaires.

Que s’est-il donc passé, depuis lors et en particulier la semaine passée, pour que le cours de l’action BAYER remonte à Francfort, en Allemagne?

Un juge de Californie a décidé, à hauteur de son humanité, qu’il n’y avait pas lieu, comme en avait pourtant décidé la Cour de Justice californienne en 2017, d’obliger Bayer-Santo à apposer sur ses bidons de Roundup-Glyphosate, l’étiquette “CANCERIGENE PROBABLE” comme l’ avait préconisé le CIRC.

Dès lors et pour éteindre le feu des poursuites judiciaires, Bayer-Santo a proposé 10 milliards de dollars aux milliers de plaignants américains malades.
10 milliards de dollars, une broutille comparée aux bénéfices générés par le poison… Et l’action de Bayer-Santo remonte aussitôt…

CSVPO : communiqué de presse

Collectif de Soutien aux Victimes des Pesticides de l’Ouest

logo du CSVPO

 

RENNES, le 26 juin 2020

Communiqué de presse

GLYPHOSATE :

MONSANTO / BAYER doit indemniser les victimes

L’Etat français doit interdire le glyphosate Et accompagner la transition.

Monsanto / Bayer a annoncé mercredi 24 juin qu’il versera plus de 10 milliards de dollars pour mettre un terme aux procédures lancées par environ 125 000 Américains ayant souffert d’un cancer qu’ils imputent à leur exposition au Roundup, un herbicide à base de glyphosate produit par Monsanto. Cet accord “mettra un terme à environ 75% des litiges” impliquant le Roundup.

Bayer continuera cependant de commercialiser le Roundup et n’a pas l’intention de préciser sur ses emballages qu’il serait susceptible de provoquer l’apparition d’un cancer. Le groupe, qui n’admet dans ce règlement ni sa culpabilité ni avoir commis le moindre acte répréhensible, continue de considérer que le Roundup ne présente pas de dangerosité pour les agriculteurs qui l’utilisent en l’associant à ses semences génétiquement modifiées, ou pour les riverains qui le côtoient.

Le Roundup, a été classé en 2015 “cancérigène probable” par le Centre international contre le Cancer (CIRC), une instance de l’OMS. Mr Macron avait promis son interdiction en France avant 2021, avant de revenir sur sa promesse.

En France, des milliers de « pisseurs de glyphosate » ont porté plainte contre Monsanto / Bayer. De nombreux mouvements et associations comme la nôtre, demandent l’interdiction du glyphosate.

La situation que nous vivons est ubuesque : Monsanto indemnise les personnes atteintes de cancer, donc reconnaît implicitement sa responsabilité, que son herbicide tue des gens ; mais il continue d’affirmer qu’il est inoffensif pour la santé humaine ; et notre gouvernement ferme les yeux, revient sur ses promesses parce que l’intérêt économique des lobbys
(fabricants, coopératives, Fnsea) est plus fort que la préservation de la santé de la population.

Les agriculteurs de tous les pays devraient comprendre que c’est non seulement leur propre santé qu’ils mettent en jeu, mais aussi celle des gens qui vivent auprès de leurs champs ou qui mangent ce qu’ils produisent ; glyphosate et Ampa sont les molécules que l’on retrouve en premier dans les eaux bretonnes et de l’Ouest. Il est donc urgent de basculer vers une
agriculture qui n’utilise plus ces poisons et d’accompagner cette transition.

Nous soutenons la demande de la Convention citoyenne de sauvegarder les écosystèmes en légiférant sur le crime d’écocide.

Même si cette décision américaine n’est pas directement transposable en France, elle montre la force d’une action collective et ouvre une brèche supplémentaire : les victimes des pesticides peuvent engager une procédure, soit pour être reconnues en maladie professionnelle, soit pour attaquer la responsabilité de ces entreprises qui commercialisent des produits mortels.

Les victimes ne doivent pas rester invisibles et la responsabilité des firmes doit être affichée.

Notre Collectif de soutien aux victimes des pesticides de l’Ouest est au côté des paysans, des paysagistes et employés des espaces verts, des salariés de coopératives, des riverains…, pour mener ces combats.

Le groupe de coordination du Collectif de soutien aux victimes des pesticides de l’Ouest
Tél : 06 73 19 56 07
https://victimepesticide-ouest.ecosolidaire.fr/

logo du CSVPO

 

Communiqué repris par FR3 : https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/glyphosate-etat-francais-somme-interdire-herbicide-collectif-1846784.html

Communiqué de presse / audience en référé du 12 mai 2020 du Conseil d’Etat.

Communiqué de presse Paris le 12 mai 2020

Recours Pesticides: Un président du Conseil d’Etat à l’écoute, un Ministère de l’Agriculture pour qui la santé des populations ne semble toujours pas être pas la priorité!

Rappel

Sous le prétexte que le Covid 19 empêcherait les consultations du public, le Gouvernement, en ce début d’année, a reculé de nouveau en accordant des réductions supplémentaires pour épandre les pesticides à des distances encore plus faibles des habitations que celles pourtant insuffisamment protectrices imposées en décembre. Afin de protéger les riverains contre cet abus manifeste, nos ONG 1 ont déposé le 23 avril deux recours 2 devant le Conseil d’Etat, l’un dans l’urgence et l’autre sur le fond, contre cette décision inadmissible. L’audience dans l’urgence se tenait ce matin et nos
ONG, ainsi que leur conseils, ressortent confiants de cette audience. Retour sur les enjeux qui entourent le verdict attendu en fin de semaine.

Les dérogations et l’action juridique

Profitant de la période sanitaire troublée du COVID 19 et sous pression de certains utilisateurs de pesticides, le Ministère de l’Agriculture autorise la mise en place de mesures de protection minimales, en réduisant les ZNT à une portion congrue. En outre, cette décision du Ministère de l’Agriculture permet de se passer des conclusions des concertations, et de l’approbation des chartes par les préfets.

Parce que le Gouvernement a refusé de répondre à nos organisations qui lui demandaient au contraire d’interdire les épandages près des habitations, parce ques les conditions de dialogue et de participation de nos organisations ne sont pas réunies pour réellement atteindre le “mieux-vivre ensemble”, et que les Préfets font également la sourde oreille, nous avons décidé d’engager ces recours, contre les textes rendant possible ces dérogations.

Nos organisations défendues par Maître Lafforgue se sont rendues ce jour au Conseil d’Etat (CE) pour faire valoir nos arguments.

Suite à notre contestation du communiqué de presse et de la note des 30 mars 2020 et du fait du questionnement du Président du CE sur ce point, le Ministère de l’Agriculture s’est engagé, à l’issue de l’audience à retirer ces textes litigieux du site internet du Ministère. C’est une première victoire mais reste l’instruction technique de février 2020 qui permet de déroger aux distances de sécurité dès lors que la procédure de concertation est engagée, dont les associations demandent également le retrait.
Nous saurons d’ici la fin de la semaine si le Conseil d’Etat accède ou non à nos attentes sur ce point.

Générations Futures, UFC-Que choisir, Collectif de Soutien aux victimes des pesticides de l’Ouest, France Nature Environnement, Union syndicale Solidaires, Eau et Rivières de Bretagne, AMLP, vigilance OGM, et la LPO
sont requérantes – le Collectif Victimes des Pesticides des Hauts de France est en soutien car organisation non constituée

https://www.generations-futures.fr/wp-content/uploads/2020/04/dp220420_recours_pesticides_instruction_final.pdf

La souveraineté alimentaire sera paysanne ou ne sera pas – tribune

“La souveraineté alimentaire sera paysanne ou ne sera pas”

Contre la dictature économique des marchés qu’impose l’agroindustrie, l’agriculture paysanne doit être protégée et reconnue d’utilité publique face à la crise sanitaire.

Tribune publiée dans Libération par un collectif d’associations

Signataires : Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération paysanne, l’association Abiosol, Khaled Gaiji, président des Amis de la terre France, Aurélie Trouvé, porte-parole d’Attac France, Sylvie Bukhari de Pontual, présidente du CCFD-Terre Solidaire, Fabrice Bouin, président Civam, Raphaël Bellanger et Virginie Raynal, co-président·e·s de la FADEAR, Alain Grandjean, président de la Fondation Nicolas-Hulot, Benoît Teste, secrétaire général de la FSU, Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France, Évelyne Boulongne, porte-parole du Miramap, Marie Pochon, secrétaire générale de Notre Affaire à Tous, Cécile Duflot, directrice générale d’Oxfam France, Slow food France, Clotilde Bato, déléguée générale de SOL, Michel Vampouille, président de la Fédération nationale terre de liens, Françoise Vernet, présidente de Terre & Humanisme, Éric Beynel, porte-parole de l’Union syndicale Solidaires, Arnaud Schwartz, président de France nature environnement.

Défendons le droit d’informer sur l’agro-alimentaire

La tribune “Défendons le droit d’informer sur l’agro-alimentaire”

en soutien à la journaliste Inès Léraud

vient d’être publiée par le quotidien Libération.

Inès Léraud est une journaliste connue pour avoir beaucoup enquêté sur l’industrie agroalimentaire en Bretagne.

Elle s’est notamment immergée dans un village breton et a suivi de près l’intoxication par les pesticides dont ont été victimes des salariés de la plus grande coopérative agricole bretonne, Triskalia.
Par des reportages diffusés sur France Inter et France Culture notamment, elle a mis au grand jour des pratiques courantes, illégales et souvent dangereuses, mises en œuvre par certains puissants acteurs du secteur agroalimentaire.
Ces pratiques hélas, se sont révélées régulièrement « couvertes » par des administrations et les élus.
Cette journaliste, dont le travail a été notamment salué par le quotidien Le Monde, s’est aussi intéressée aux « marées vertes » qui se sont répandues sur les côtes bretonnes depuis l’avènement de l’élevage industriel.

Cet intérêt a débouché sur une bande dessinée réalisée en collaboration avec Pierre Van Hove aux éditions La Revue dessinée – Delcourt (2019)

“Algues vertes, l’histoire interdite”

un album qui connaît un retentissant succès.

…”

 

 

 

 

Bretagne : recours contre les préfets devant les TA / distances épandages

Des recours contre les préfets ayant réduit les distances de pulvérisation des pesticides

L’association Eau et Rivières de Bretagne critique la réduction des distances de pulvérisation des pesticides près des habitations

https://www.eau-et-rivieres.org/pesticides-nos-recours-contre-les-d%C3%A9rogations-des-pr%C3%A9fets

https://www.20minutes.fr/planete/2774723-20200507-bretagne-recours-contre-prefets-reduit-distances-pulverisation-pesticides?utm_source=discussion_mailer&utm_medium=email&utm_campaign=new_comment