Au mépris de la démocratie, de l’intérêt général et des attentes réelles des paysan·nes, la politique du gouvernement dessine un avenir de plus en plus angoissant et mortifère.
A l’heure du dérèglement climatique, de l’instabilité géo-politique et des dérégulations en tout genre, quelle est sa réponse ❓
Réintroduction de produits dangereux pour la santé, destruction de notre souveraineté alimentaire au profit des lobbies agro-industriels, privatisation de biens communs comme l’accès à l’eau et à la terre.
🤬 S’ajoutant aux innombrables reculs des politiques agricoles (suppression des aides à la bio, réorientation du reliquat bio aux JA…), la loi Duplomb est non seulement régressive mais elle est aussi dangereuse !
Les Confédérations paysannes de Bretagne appellent les agriculteurs, agricultrices, citoyen·nes, syndicats de salarié·es, associations environnementales,
🚜🚜🚜
à se mobiliser massivement
✊✊✊
📆 le jeudi 19 juin à 14h
📍au départ de l’Esplanade Charles de Gaulle à Rennes
Nous manifesterons et mènerons des actions symboliques pour faire entendre notre colère et interpeller les parlementaires et le gouvernement.
Ne nous laissons pas faire !
Face au gouvernement, battons-nous pour un monde vivable!
L’eau, la terre, notre alimentation ne sont pas des marchandises !
ORGANISATION TRAJETS DEPUIS LE FINISTERE Si vous souhaitez participer à la mobilisation et que vous cherchez/proposez un covoit, merci de nous indiquer la commune de départ et le nombre de places disponibles, par retour mail ou par téléphone.
En fonction du nombre de participant·es finistérien·nes, nous pourrons louer un car pour faire le trajet depuis Morlaix ou Quimper.
Confédération Paysanne du Finistère
Hôtel d'entreprises - Z.A. du Lumunoc'h
325 rue Pierre et Marie Curie - 29510 BRIEC
Perm. tél. mardi au jeudi 9h-12h : 06.17.37.52.61
En savoir plus : www.confederationpaysanne.bzh/finistere/
Suivez-nous sur FB : www.facebook.com/conf29
Mardi 24 janvier, une audience cruciale aura lieu au Parlement européen afin de présenter les demandes de 1,1 million de signataires de l’initiative citoyenne Sauvons les abeilles et les agriculteurs.
Pour répondre à la crise de la diversité, nous demandons une réduction de 80 % de l’usage des pesticides de synthèse d’ici à 2030, et une interdiction totale d’ici à 2035. Nous détaillerons notre proposition, puis les membres du Parlement la commenteront et poseront leurs questions.
L’audience se tiendra le mardi 24 janvier de 14 h 30 à 18 h 30 au Parlement européen à Bruxelles.
Vous pouvez la suivre en ligne. Le programme complet se trouve sur le site de PAN Europe. Cliquez ici pour assister à l’audience en direct.
Livestream de l’audience : se connecter à l’audience
Délais dans la réduction des pesticides : ça suffit !
Une réduction drastique des pesticides toxiques devrait commencer au plus vite.
Nous appelons à l’adoption d’une nouvelle législation européenne ambitieuse et contraignante en matière de réduction des pesticides. Un groupe de pays de l’UE aide le lobby des pesticides à retarder ce processus. Nous demandons à la Commission, au Parlement et aux pays membres d’agir rapidement. Assez de délais supplémentaires !
Nous appelons aussi à la mise en application des solutions existantes, et ce, dès aujourd’hui.
Utilisation de la lutte intégrée: rotation des cultures, augmentation de la diversité, zones tampons pour aider les insectes et oiseaux utiles, prévention des ravageurs…
Il faut mettre fin à l’utilisation préventive des pesticides. Lorsqu’un ravageur est détecté, l’utilisation de méthodes mécaniques doit être privilégiée, avant de passer à la lutte biologique.
Les pesticides de synthèse ne devraient être utilisés qu’en dernier recours, si les autres méthodes échouent. Les pays membres de l’UE se sont déjà accordés sur ce principe en 2009, il est donc grand temps de le mettre en application !
Fin des dérogations accordées pour l’utilisation de pesticides interdits ou non autorisés.
Grâce au Pesticide Action Network Europe et à Nature & Progrès Belgique, la Cour de justice européenne a rendu un avis sans ambiguïté : aucune autorisation d’urgence ne peut être donnée par les pays membres concernant les semences traites aux pesticides néonicotinoïdes (dits « tueurs d’abeilles »).
Une victoire majeure et indispensable pour l’environnement ! La Cour a également souligné « l’obligation pour les États membres de prendre toutes les mesures nécessaires pour promouvoir la lutte contre les ravageurs à faible apport en pesticides, en privilégiant chaque fois que possible des méthodes non chimiques ».
Interdiction immédiate des 12 pesticides les plus toxiques et arrêt – au plus vite – de l’utilisation de 42 autres produits chimiques dangereux classés dans la liste des « Candidats à la substitution ».
Interdiction de l’utilisation du glyphosate, l’herbicide le plus utilisé dans monde.
L’année dernière, la Commission européenne a renouvelé son autorisation pour un an de plus.
Il est maintenant grand temps d’y mettre fin. Lisez l’appel lancé par 28 organisations pour la santé et l’environnement.
Ces actions permettraient d’avancer de manière réaliste et efficace vers une réduction de 80 % des pesticides d’ici à 2030, et une élimination totale de leur usage d’ici à 2035.
Votre soutien nous est plus utile que jamais
L’organisation d’une campagne à l’échelle européenne coûte beaucoup de temps et d’argent. Sans vous, notre travail ne serait tout simplement pas possible. Votre soutien nous permet de continuer ! Partagez les nouvelles de Sauvons les abeilles et les agriculteurs avec vos contacts, et faites un don si vous le pouvez.
« Le gouvernement autorise pour la deuxième année consécutive l’utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes, insecticides « tueurs d’abeilles ».
L’utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes, insecticides aux effets néfastes pour les abeilles dénoncé par les défenseurs de l’environnement, est autorisée pour la campagne 2022 en France, selon un arrêté publié mardi au Journal officiel.
Christian Vélot est maître de conférence en génétique moléculaire à l’université Paris-Sud, directeur scientifique du comité scientifique du Comité de Recherche de l’Information Indépendante du Génie Génétique (CRIIGEN)
Interviewé par France Soir il revient sur différents aspects de la pandémie actuelle (virus, vaccins, Autorisations de Mise sur le Marché – AMM, politique vaccinale) pour élargir son propos sur les liens entre cette pandémie et les maladies environnementales.
Christian Vélot revient sur la nature de ce virus qu’il qualifie de dangereux car présentant un grand nombre de symptômes différents.
Il se montre surpris de voir que pour lutter contre un virus qui nous réserve beaucoup d’incertitudes, on ait recours à des technologies pour lesquelles on n’a pas de recul.
Il revient sur les traitements précoces, notamment ceux préconisés par le professeur Didier Raoult, un virologue d’une pointure exceptionnelle et regrette qu’on ait balayé l’hydroxychloroquine qui n’a jamais tué personne pour lui préférer le Remdesivir, une molécule toxique et mutagène.
Le biologiste donne des explications très détaillées sur les différents types de vaccins mis sur le marché, vaccins qu’il divise en trois catégories selon la technique employée : vaccins à virus inactivé, vaccins à protéines recombinantes et vaccins génétiques.
Christian Vélot revient également sur les autorisations de mise sur le marché conditionnelles beaucoup trop rapides puisqu’une phase 3 prend normalement plusieurs années pour connaître l’immunotoxicité, la génotoxicité et l’intéraction avec le génome humain. Il regrette ces décisions et rappelle que « la sécurité est incompatible avec l’urgence ».
S’ensuivent des explications sur la nature de ce virus qui ne fait pas beaucoup de mutations mais des recombinaisons avec des virus qui ne sont pas de sa famille, une particularité qui l’amène à s’interroger sur l’échappement immunitaire, au rapport bénéficie/risque de la vaccination et de son efficacité.
Enfin il déplore l’absence de la diversité de pensée dans les instances de décisions et dénonce des erreurs de la part de certaines autorités notamment des propos scientifiquement faux du « Monsieur vaccin » Alain Fisher, responsable de la politique vaccinale pour la France.
Liens entre pandémie Covid – maladies environnementales
-à partir de 1h07’42 »: conseil de « ne pas considérer la crise du covid toute seule, isolée du reste du monde »
Le SARSCOV2 n’est pas un virus tueur, c’est un virus qui porte l’estocade finale chez des gens qui sont déjà fragiles – pour la grande majorité –
« La vraie question est de se poser pourquoi y a t il autant de personnes fragiles ? »
– à partir d’1h10′ : les facteurs environnementaux
« c’est multiple la question des facteurs environnementaux, mais notamment on sait aujourd’hui à quel point par exemple les perturbateurs endocriniens sont responsables de ces cancers, sont responsables de ces maladies chroniques, de cette obésité, etc, et qu’est ce qu’on fait contre les perturbateurs endocriniens, contre les pesticides ?
RIEN !
Il y a une maladie qui tue peu et il faut vacciner tout le monde, Il y a une maladie qui tue beaucoup et on ne fait RIEN
Et le problème c’est que les victimes de l’un sont les victimes de l’autre. C’est à dire que tout est lié.
ET qu’on ne résoudra pas le problème du Covid si on ne prend pas le problème dans sa globalité.
Et quand on avait mr Salomon qui venait tous les soirs nous faire le décompte du nombre de morts du Covid, s’il avait du nous faire le décompte du nombre de morts des maladies chroniques (il ne s’agit pas de mettre en opposition certains morts contre d’autres) mais visiblement vis à vis du gouvernement tous les morts n’ont pas la même valeur parce que en 2008 l’OMS – la fameuse Organisation Mondiale de la Santé – a fait un rapport mondial sur les maladies chroniques dans le monde, c’était 38 millions de morts dans le monde en 2008, dont 29% avaient moins de 60 ans.
Et bien qu’est ce qu’on a fait pour ça ?
RIEN
On continue à autoriser les pesticides, on vient de ré-autoriser les néonicotinoïdes pour les betteraviers, alors qu’on sait que ces molécules sont des poisons, on sait à quel point on est entourés de pesticides qui nous tuent à petit feu, qui nous rendent fragiles, et donc si on ne prend pas ce problème à bras le corps et si on ne résout pas le problème des maladies environnementales de manière générale et qu’on ne se remet pas en question sur la manière, sur l’hyper-productivisme, sur la déforestation … et bien des pandémies arriveront et ces pandémies seront de plus en plus mortelles, même si le virus d’aujourd’hui ne l’est pas, simplement parce que les gens sont de plus en plus fragiles.
Donc traiter le problème de la Covid tout seul, c’est du vernis sur des ongles sales.
… il faut résoudre le problème de santé de fond et ne pas mettre les choses dans des petites boîtes et déconnecter tout ceci.
Avec la Covid,
il y a une pandémie qui en cache une autre,
c’est celle des maladies environnementales
La vaccination Covid à l’épreuve des faits (article de blog du 30 juillet 2021) par Laurent Mucchielli : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
Article signé par Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet).
Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise Ils créeront des crises pour violer vos droits !!!
Quelques paroles entendues dans les manifestations : « Bonheur de pouvoir se retrouver enfin autour d’une cause ». « Ça nous réveille, ça nous sort de l’anesthésie »
Le 18 décembre 2020 à 18h30
Pour toutes les manifs : même horaire Prévoyez d’arriver un peu avant sur place et le temps de retour à votre domicile avant …
Où ?
Dans les Côtes d’Armor
LA POLLUTICK TUE
DINAN
64 bis rue de Brest
devant la permanence de Mr le Député
Hervé Berville
LA POLLUTICK TUE
SAINT BRIEUC 17, allée Marie Le Vaillant devant la permanence de Mr le Député
Bruno Joncourt
Dans le Finistère
LA POLLUTICK TUE
LANDERNEAU
54 Quai de Léon
devant la permanence de Mme la Députée
Graziella Melchior
LA POLLUTICK TUE
CHATEAULIN
2 rue Baltzer
devant la permanence de Mr le Député
Richard Ferrand
LA POLLUTICK TUE
PONT L’ABBÉ
Parking – 12 rue du Prat
devant la permanence de Madame la Députée
Liliana Tanguy
Abeille heureuse sans néonicotinoïdes
CONCARNEAU
40 Rue Bayard
devant la permanence de Mr le Député
Erwan Balanant
En Loire Atlantique
LA POLLUTICK TUE
SAINT NAZAIRE
Place des Droits de l’Homme et du Citoyen (avenue de la République) devant le « dragon » rebaptisé permanence éphémère de Mme la Députée Audrey Dufeu
Dans le Morbihan
LA POLLUTICK TUE
SAINT AVÉ 1O b rue Joseph Le Brix
devant la permanence de Monsieur le Député Hervé Pellois
LA POLLUTICK TUE
LORIENT
26 Cours de Chazelles
devant la permanence de Mr le Député Gwendal Rouillard
LA POLLUTICK TUE
HENNEBONT
2 Quai du pont neuf
devant la permanence de Mr le Député Jean Michel Jacques
LA POLLUTICK TUE
BAUD
Zone de Kermestre
Devant la permanence de Mme la Députée Nicole Le Peih
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