Bientôt les élections européennes : prenez connaissance de qui a voté quoi au sujet des NTG, lors de la séance parlementaire du 7 février 2024
Note : L’eurodéputée Lydie Massard est mentionnée « Abs », ce qui signifie « Absente ». Elle nous a confirmé qu’elle a bien soutenu tous ces amendements avec « les verts », participé à leur rédaction et continue à les soutenir.
Cependant, et à son grand regret pour le vote au PE, elle avait, ce 7 février, jour du vote au PE, une obligation de présence par ailleurs pour soutenir une demande de financement qui n’aurait pas pu être attribuée sans sa présence.
Qui a voté pour des registres publics où sont enregistrés tous les lieux où des NTG sont obtenus ou cultivés ?
Qui a voté pour que la charge financière ne retombe pas sur les paysans pour démontrer que les productions sont sans NTG ?
Qui a voté pour prévenir la contamination par les NTG d’autres cultures par exemple avec des bandes tampon ?
Qui a voté pour que le règlement NTG ne compromette pas l’objectif de 25 % de terres bio d’ici l’horizon 2030 ?
Qui a voté pour rejeter un texte visant à affaiblir la réglementation sur les OGM ?
Qui a voté pour une traçabilité documentée des NTG ?
ECVC se félicite du blocage de la déréglementation des OGM-NTG par le Conseil de l’UE, et condamne l’approbation précipitée d’une proposition incohérente et inapplicable par le Parlement européen
Hier, le Comité des représentants permanentes (COREPER) des États membres de l’Union Européenne s’est réuni afin de trouver un accord du Conseil sur la proposition visant à déréglementer les OGM/nouvelles techniques génomiques (NTG), sur base d’un texte de compromis de la présidence belge. Le COREPER n’est parvenu à aucun accord, ce qui fragilise la possibilité d’entamer les négociations avec le Parlement et la Commission (dites trilogue) avant les élections européennes de juin 2024. ECVC salue l’opposition des Etats membres de l’UE à cette proposition qui ne tient pas la route. Le refus de la Commission d’autoriser les États à interdire la culture des NTG sur leurs territoires, et la porte ouverte à la confiscation de toutes les semences par les brevets, dénoncésparECVCdepuisledébutdeceprocessus, sont les points de blocage principaux. C’est une victoire pour les organisations paysannes, qui appellent les États membres à continuer à défendre les droits des agriculteur.rice.s et des consommateur.rice.s en s’opposant à ce projet inacceptable.
Toutefois, hier également, le Parlement européen s’est prononcé à une faible majorité1 lors d’un vote en plénière en faveur de la déréglementation des OGM-NTG. ECVC condamne fermement ce vote, qui va radicalement à l’encontre des droits des paysan.ne.s sur les semences, des droits des citoyen.ne.s à une alimentation sans OGM, du principe de précaution établi à l’article 191 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) et des obligations internationales de l’UE.
Les parlementaires européen.ne.s ont voté en faveur d’une proposition complètement incohérente d’un point de vue juridique, et sans aucun fondement scientifique, comme l’a souligné récemmentl’agence de sécurité sanitaire française ANSES. Pour mieux faire passer ce vote inacceptable, les parlementaires tentent de nous enfumer en formulant deux promesses qu’ils et elles ne pourront pas tenir :
. Les parlementaires prétendent que la traçabilité des NTG et l’étiquetage des produits seront garantis (amendements 264 et 265). Pourtant, ils ont refusé de rendre obligatoire la publication des procédés permettant de détecter et d’identifier les OGM-NTG. Il sera donc impossible de garantir le respect des obligations de traçabilité, et donc d’étiquetage tout au long de la chaîne alimentaire. Sans cette garantie, les entreprises semencières pourront sans risque de poursuite
« oublier » de déclarer que leurs semences sont des NGT.
. Sur le brevet, qui est la préoccupation principale des paysan.ne.s et des petites entreprises semencières, les parlementaires prétendent que la non-brevetabilité des NTG sera garantie. Le Parlement européen envoie certes un signal politique intéressant en proposant d’amender dans ce sens le droit européen des brevets (Directive 98/44/CE). Mais cet amendement ne sera pas en mesure de limiter la portée d’un brevet aux seul produits végétaux issus de l’invention brevetée, en l’absence de publication des procédés permettant de distinguer une information génétique brevetée de tout autre information génétique « native » ou résultant de sélection traditionnelle. ECVC rappelle aussi que le Parlement européen ne peut pas décider de sa propre
1 307 votes en faveur, 263 contre et 41 abstentions.
Suspension du plan Ecophyto, grand bon en arrière ?
Que nenni, il n’y a qu’à compter autrement, évaluer le risque autrement !!!
Et envoyer le ministre faire la com pour servir les intérêts des lobbies de l’agrochimie…
Marc Fesneau, ministre de l’agriculture, au micro de France Culture, le 5 février.
«Aucune molécule ne va être réautorisée pendant cette pause ; aucun changement n’aura lieu sur les produits et molécules phytosanitaires» a promis le ministre, préférant parler d’un simple changement du mode de calcul de l’usage des insecticides et herbicides.
Alors parlons en, du nouveau mode de calcul :
le HRI1 : Indicateur de Risque Harmonisé 1
Générations Futures diffuse cette petite video pédagogique sur les nouveaux modes de calcul, le HRI1 (Indicateur de Risque Harmonisé 1) et les subterfuges utilisés pour faire croire à une réduction des pesticides
Oui, c’est bien une promesse de ministre …
Un mode de calcul rétroactif pour augmenter rétrospectivement la quantité de pesticides utilisée il y a des années et faire croire à une diminution aujourd’hui
Suite à la pause annoncée du plan Ecophyto par le 1er ministre, 13 mutuelles françaises publient ce Communiqué de presse, depuis le Sénat, à l’issue du colloque « amiante & pesticides » du 5 février dernier. 13 mutuelles, représentant plus de 3 millions de français
Lien vers la vidéo du discours prononcé par Martin Rieussec-Fournier au nom des 13 mutuelles, à l’attention du 1er ministre, au Sénat : https://www.youtube.com/watch?v=Dtmz1dmUb_c
Une nouvelle étude, chinoise, cette fois, confirme la toxicité des coformulants des herbicides à base de glyphosate.
Elle cite, dans ses références, 2 publications du Pr Gilles Eric Séralini, chercheur français qui avait déjà publié des résultats en ce sens dès 2013 et 2015.
Cette publication chinoise cite également les travaux du conseil scientifique de la Campagne Glyphosate France, dirigée par Daniel Grau.
Contexte de l’étude :
State Key Laboratory of Reproductive Medicine and Offspring Health, Nanjing Medical University, Nanjing 211166, China
Department of Epidemiology and Biostatistics, School of Public Health, Nanjing Medical University, Nanjing 211166, China
State Key Laboratory of Reproductive Medicine and Offspring Health, School of Public Health, Nanjing Medical University, Nanjing 211166, China
Received 6 December 2023, Revised 27 January 2024, Accepted 2 February 2024, Available online 3 February 2024, Version of Record 7 February 2024.
Abstract : Polyoxyethylene tallow amine and glyphosate exert different developmental toxicities on human pluripotent stem cells-derived heart organoid model
Résumé :
La polyoxyéthylène tallow amine et le glyphosate exercent des toxicités développementales différentes sur le modèle d’organoïde cardiaque dérivé de cellules souches pluripotentes humaines
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Résumé Le stade précoce du développement du cœur est très sensible à divers facteurs environnementaux.
Si l’utilisation de modèles animaux a permis d’identifier de nombreux facteurs de risque environnementaux, la variabilité entre les espèces et le faible rendement limitent leur potentiel translationnel.
Récemment, un type de structures cardiaques auto-assemblées, connues sous le nom d’organoïdes cardiaques humains (hHO), présente une cohérence biologique remarquable avec le cœur humain.
Cependant, la faisabilité des hHOs pour l’évaluation des facteurs de risque du développement cardiaque reste inexplorée.
Ici, nous nous sommes concentrés sur les effets sur le développement cardiaque des principaux composants des herbicides à base de glyphosate (GBH), les herbicides les plus largement utilisés, afin d’évaluer la fiabilité des hHO pour la prédiction d’une éventuelle toxicité cardiogénique.
Les GBH se sont avérés toxiques pour le développement cardiaque sur la base de multiples modèles animaux, mais le mécanisme reste inconnu. Nous avons constaté que la polyoxyéthylène tallow amine (POEA), l’agent tensioactif le plus courant dans les formulations de GBH, jouait un rôle dominant dans la toxicité des GBH pour le développement du cœur.
Bien qu’il y ait eu quelques différences dans les caractéristiques transcriptives, les cellules hHO exposées à la POEA seule et à la POEA et au glyphosate combinés ont souffert à la fois d’une perturbation de la contraction cardiaque et d’une perturbation de l’engagement dans les isoformes cardiomyocytaires.
En revanche, le glyphosate n’a provoqué qu’une légère hyperplasie épicardique.
Cette étude ne fait pas seulement la lumière sur le mécanisme toxique des GBH, mais sert également de démonstration méthodologique, montrant son efficacité dans la reconnaissance et l’évaluation des facteurs de risque environnementaux, et dans le décryptage des mécanismes toxiques.
Discussion Cette étude a utilisé des hHOs dérivées de HPSCs comme système modèle pour déchiffrer les effets des composants principaux des GBHs sur la cardiogenèse humaine. Comme la formulation commerciale des GBHs comprend divers ingrédients, l’exposition aux GBHs signifie un schéma d’exposition complexe et multifactoriel. Cependant, de nombreuses études se sont concentrées sur la toxicité du Gly ou des GBH. On sait peu de choses sur les autres composants, comme la POEA, l’adjuvant couramment ajouté aux GBH. Nos résultats n’ont pas seulement vérifié que la POEA contribuait le plus à la toxicité cardiaque des GBH.
Conclusion
En conclusion, en appliquant un nouveau modèle humanisé de hHOs, notre étude a décrypté les effets des principaux composants des GBHs sur le développement cardiaque humain et a distingué davantage la toxicité cardiaque unique de la POEA, l’adjuvant commun à la plupart des GBHs. Notre étude a non seulement vérifié que la POEA contribuait le plus aux lésions cardiaques induites par les GBH, mais elle a également mis en lumière le mécanisme toxique de la POEA et du Gly. Bien que le modèle que nous avons utilisé ici ne puisse pas reproduire entièrement le processus de cardiogenèse humaine,
Les malformations cardiaques congénitales, qui sont dues à un développement anormal du cœur ou des vaisseaux cardiaques, constituent les anomalies congénitales les plus répandues chez l’homme (Fahed et al., 2013 ; van der Linde et al., 2011). Outre les facteurs génétiques, il a été prouvé que les contaminants environnementaux étaient l’une des principales causes. Bien que l’application de modèles animaux complexes, tels que le poisson zèbre, la souris et le rat, ait permis d’identifier de nombreux facteurs de risque environnementaux cardiaques, la variabilité d’une espèce à l’autre et le faible débit limitent leur potentiel translationnel. De nouveaux modèles sont donc nécessaires pour modéliser la cardiogenèse humaine.
L’avènement des cellules souches pluripotentes humaines (hPSC), y compris les cellules souches embryonnaires humaines (hESC) et les cellules souches pluripotentes induites (hiPSC) (Takahashi et al., 2007 ; Thomson et al., 1998), a révolutionné les méthodes in vitro utilisées pour étudier les maladies et découvrir la médecine régénérative. Par rapport aux modèles animaux traditionnels, la différenciation des hPSC en cardiomyocytes (CM) présente une cohérence biologique remarquable avec le développement du cœur humain. Cependant, cet essai de différenciation en 2D ne peut pas récapituler les processus morphogénétiques et (patho-)physiologiques de plusieurs interactions clés entre les cellules et la matrice extracellulaire au cours de la cardiogenèse (Horvath et al., 2016 ; Weinberger et al., 2017).
À ce jour, des progrès considérables ont été réalisés dans la construction de structures cardiaques auto-assemblées, appelées organoïdes cardiaques humains (hHO), qui peuvent récapituler la complexité cellulaire du cœur humain in vitro et sont prometteuses pour servir de modèle alternatif aux animaux de laboratoire traditionnels afin d’évaluer les facteurs de risque du développement cardiaque, en suivant les principes 3R (Replacement, Reduction and Refinement) (Drakhlis et al., 2021 ; Hofbauer et al., 2021 ; Lee et al., 2022 ; Lewis-Israeli et al., 2021b). Toutefois, cette faisabilité doit être examinée plus en détail.
Les herbicides à base de glyphosate (GBH), dont l’ingrédient actif est le glyphosate (Gly), sont au centre de cette étude en raison de leur toxicité cardiaque bien connue (Lu et al., 2022 ; Roy et al., 2016). Comme les cultures résistantes au Gly sont largement plantées, l’utilisation des GBH a fortement augmenté chaque année (Duke et Powles, 2008), accompagnée de niveaux résiduels dans l’air, le sol, l’eau douce et les aliments qui augmentent d’année en année (Chang et al., 2011 ; Coupe et al., 2012 ; Desmet et al., 2016 ; Tush et al., 2018). Par exemple, dans les eaux de surface, la concentration de Gly varie de ∼0,1 à ∼700 ng/mL (Demonte et al., 2018 ; Lupi et al., 2019 ; Mörtl et al., 2013 ; Peruzzo et al., 2008 ; Sanchís et al., 2011).
Dans la sauce soja, il varie de 88 à 564 ng/mL avec une moyenne de 242 ng/mL (Fernando et al., 2014). L’existence de Gly dans le corps humain est encore plus déconcertante. Bien que le niveau moyen de Gly dans l’urine soit inférieur à 5 ng/mL (Buekers et al., 2022a ; Buekers et al., 2022b ; Connolly et al., 2022 ; Grau et al., 2022 ; Soukup et al., 2020), il atteint 189 ng/mL dans le sérum des femmes enceintes selon Kongtip et al. (2017). Elle peut être numériquement plus élevée dans le contexte de l’exposition professionnelle. Zhang et al. (2020) ont mené une étude de cohorte sur le niveau de Gly interne chez les travailleurs de quatre fabricants de GBH dans les provinces de Jiangsu et Shandong en Chine.
Ils ont constaté que bien que ces travailleurs n’aient pas eu de contact direct avec les GBH, les concentrations de Gly dans 134 échantillons d’urine allaient de 0,02 à 17,202 μg/mL, avec une médiane de 0,292 μg/mL (Zhang et al., 2020). Outre l’urine, le Gly a également été trouvé dans des échantillons de placenta humain et de sang fœtal (Gillezeau et al., 2019 ; Kongtip et al., 2017), ce qui suscite de nombreuses inquiétudes.
Chez le poisson zèbre, l’exposition aiguë à de fortes doses de Gly a modifié l’oreillette et le ventricule, réduit la fréquence cardiaque et supprimé successivement la cardiogenèse et l’angiogenèse (Lu et al., 2022 ; Roy et al., 2016). Lorsque l’exposition a eu lieu chez des mammifères, tels que le rat et le lapin, les chercheurs ont observé des malformations cardiovasculaires telles que l’aortarctie, l’anomalie septale du ventricule et l’hypertrophie ventriculaire dans les expériences d’exposition maternelle (Kimmel et al., 2013 ; Robinson, 2012). Notamment, bien que peu nombreuses, quelques études ont montré que la toxicité n’est pas liée au Gly en tant que tel, mais plutôt aux GBH. L’exposition aux GBH a provoqué des anomalies cardiaques similaires, notamment un raccourcissement du tube cardiaque, un épaississement de la paroi du ventricule, une diminution de la fréquence auriculaire et une baisse de la fréquence cardiaque chez les têtards, Xenopus laevis et le poisson zèbre, qui ont été attribuées à la production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) (Costa et al., 2008 ; Flach et al., 2022 ; Lanzarin et al., 2019).
Une évaluation plus poussée de la toxicité cardiaque sur des cellules cardiaques de rat et de lapin a prouvé que les GBH provoquent des anomalies électriques telles qu’un bloc de conduction et une arythmie, et induisent des lésions mitochondriales qui déclenchent l’apoptose des cellules. Inexplicablement, aucun changement électrophysiologique significatif n’a été observé lors de la seule exposition au Gly (Chan et al., 2007 ; Gress et al., 2015). Simasotchi et al. (2021) ont rapporté que le placenta in vitro perfusé avec des GBH présentait des anomalies plus graves que celui perfusé avec du Gly seul, ce qui soulève des inquiétudes quant à la toxicité potentielle de l’adjuvant.
La polyéthoxyamine (POEA), qui est le tensioactif le plus communément présent dans les formulations de GBHs au cours des 40 dernières années, se situerait entre 1,3 et 160 μg/kg dans les sédiments des lits de cours d’eau (Tush et al., 2018). Dans les sols agricoles, sa concentration moyenne est de 97 μg/kg, et ce nombre augmentera jusqu’à au moins 200 μg/kg après l’utilisation du pesticide pendant 14 jours (Krogh et al., 2003). Il a également été démontré que la POEA s’adsorbe beaucoup plus fortement que le Gly, notamment dans des conditions de faible pH (Tush et Meyer, 2016). Bien qu’il reste dans le sol pendant plus de deux ans (Tush et al., 2018), il est largement ignoré dans les évaluations de sécurité des GBH. Certaines études publiées ont révélé que son application dans les GBH entraîne une plus grande toxicité que le Gly seul (Moore et al., 2012). En utilisant des lignées cellulaires HEK293, JEG3 et HepG2, bien que moins sensibles que les cellules primaires, Mesnage et al. (2013) ont démontré que la POEA induisait une nécrose, ce qui renforce les inquiétudes quant aux risques pour la santé humaine, en particulier chez les applicateurs fortement exposés. Malgré ces rapports, la toxicité de la POEA pour le développement cardiaque n’en est qu’à ses débuts.
Dans cette étude, nous avons comparé la toxicité pour le développement cardiaque de la POEA seule, de l’exposition à la Gly seule et de l’exposition combinée de ces deux substances. Alors que la POEA a joué un rôle important dans le mode d’exposition combiné, en détruisant l’engagement des isoformes CM et en perturbant les processus métaboliques, l’exposition au Gly a entraîné une légère hyperplasie épicardique chez les hHO. Ces résultats permettront non seulement de faire la lumière sur la toxicité des principaux composants des GBH pour le développement du cœur et sur les mécanismes toxiques sous-jacents, mais aussi d’étudier la faisabilité de ce nouveau modèle de hHOs auto-assemblés pour identifier les facteurs de risque pour le développement du cœur.
Citations des études du Pr Gilles-Eric et de l’équipe de Daniel Grau (Campagne Glyphosate France)
Étude de 2013 : Séralini / Mesnage / Bernay
« Ethoxylated adjuvants of glyphosate-based herbicides are active principles of human cell toxicity » // Les adjuvants éthoxylés des herbicides à base de glyphosate sont des principes actifs de la toxicité cellulaire humaine https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0300483X12003459
Etude de 2015 : Mesnage / Defarge / Spiroux de Vendômois / Séralini
« Potential toxic effects of glyphosate and its commercial formulations below regulatory limits » // Effets toxiques potentiels du glyphosate et de ses formulations commerciales en deçà des limites réglementaires https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S027869151530034X
« Quantifiable urine glyphosate levels detected in 99% of the French population, with higher values in men, in younger people, and in farmers »//Des niveaux quantifiables de glyphosate dans l’urine ont été détectés dans 99 % de la population française, avec des valeurs plus élevées chez les hommes, les jeunes et les agriculteurs.
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