PIG BZH est signataire de la lettre ouverte au 1er ministre, initiée par Secrets Toxiques
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Rappel des faits :
Pesticides et santé : des scientifiques dénoncent l’édulcoration d’un rapport du Haut-Commissariat à la Stratégie et au Plan
Quatre des huit membres du conseil scientifique chargé de superviser le document ont signé un commentaire critique soulignant leurs désaccords sur des amendements, notamment obtenus par le ministère de l’agriculture.
Objet : Urgence d’une politique indépendante et cohérente sur les pesticides, la santé publique et l’eau potable
Monsieur le Premier Ministre,
Nous vous écrivons avec gravité à la suite des révélations publiées par Le Monde, selon lesquelles le ministère de l’Agriculture aurait exercé des pressions sur la rédaction du volet consacré aux pesticides dans le rapport du Haut-Commissariat à la Stratégie et au Plan (HCSP).
Ces interventions, visant à édulcorer ou retarder la publication de conclusions scientifiques gênantes, sont extrêmement préoccupantes.
Elles portent atteinte à la crédibilité des institutions publiques, au droit des citoyens à une information indépendante et à la sécurité sanitaire nationale.
Il ne s’agit pas d’un simple différend administratif. C’est un signal d’alerte politique.
Lorsqu’un ministère chargé de l’agriculture interfère dans l’évaluation des risques sanitaires des pesticides, il devient juge et partie, et met en péril la santé publique.
Dans ce contexte, le maintien de la ministre actuelle, après de telles accusations, affaiblit la confiance du public et empêche la mise en œuvre d’une politique de transition agricole crédible.
Nous demandons donc son remplacement immédiat par une personnalité indépendante, compétente et résolument engagée pour la transparence et la santé environnementale.
Un désastre sanitaire et financier sous-estimé
Les chiffres disponibles dressent un constat accablant :
– Les coûts cachés liés aux pesticides (santé, dépollution, perte de biodiversité)
s’élèvent à minima à 370 millions d’euros et potentiellement jusqu’à 8,2 milliards d’euros par an en France, dont 260 millions pour le traitement de l’eau potable [1]
– L’expertise INSERM (2021) a mis en évidence des liens forts ou moyens entre l’exposition aux pesticides et 16 pathologies graves, dont plusieurs cancers, maladies neurodégénératives et troubles de la reproduction.
– Les agriculteurs exposés présentent un risque accru de +47 % de lymphomes plasmocytaires et +25 % de myélomes.
– À l’échelle nationale, le nombre de cancers a presque doublé depuis 1990, avec une progression plus forte chez les femmes et les jeunes adultes.
Ces données illustrent la contradiction entre un discours officiel de réduction des pesticides et la réalité d’un système sous influence, où les arbitrages ministériels privilégient encore les intérêts industriels au détriment de la santé publique.
L’eau potable est la première victime silencieuse. Les contrôles de qualité montrent que plus d’un tiers des points de captage en France présentent des traces de pesticides ou de leurs métabolites au-delà des seuils réglementaires.
Certaines molécules interdites depuis plus de dix ans, comme l’atrazine, continuent de polluer les nappes phréatiques.
Le coût de la dépollution est exorbitant, mais la pollution, elle, reste légalement tolérée tant que les traitements permettent de “corriger” l’eau avant sa distribution. Cette logique est intenable : il faut prévenir la contamination à la source, pas seulement la traiter à la sortie du robinet. La situation exige un sursaut politique et moral. Nous vous demandons :
. Le remplacement de la ministre de l’Agriculture, afin de garantir l’indépendance de la politique publique sur les pesticides.
. La publication intégrale et sans censure du rapport du HCSP, avec les noms des experts consultés et les corrections demandées par le ministère.
. La réorientation des aides de la PAC pour un financement fort et engagé dans la transition agro-écologique
. L’intégration, dans la loi de financement de la sécurité sociale, d’un compte spécifique retraçant les coûts des pathologies environnementales afin d’en mesurer le poids réel.
Le courage politique ne consiste pas à temporiser, mais à protéger la population quand les faits sont établis.
La France ne peut plus ignorer le coût humain et financier d’une dépendance aux pesticides qui ruine notre santé, notre eau et notre modèle social.
Nous appelons votre gouvernement à faire preuve de transparence, d’indépendance et de responsabilité en plaçant la santé publique au-dessus des intérêts économiques sectoriels.
Dans l’attente d’une réponse claire à cette demande, nous vous prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’expression de notre très haute considération
Lettre ouverte à Monsieur le Premier ministre Sébastien Lecornu
Objet : Urgence d’une politique indépendante et cohérente sur les pesticides, la santé publique et l’eau potable
Monsieur le Premier Ministre,
Nous vous écrivons avec gravité à la suite des révélations publiées par Le Monde, selon lesquelles le ministère de l’Agriculture aurait exercé des pressions sur la rédaction du volet consacré aux pesticides dans le rapport du Haut-Commissariat à la Stratégie et au Plan (HCSP).
Ces interventions, visant à édulcorer ou retarder la publication de conclusions scientifiques gênantes, sont extrêmement préoccupantes.
Elles portent atteinte à la crédibilité des institutions publiques, au droit des citoyens à une information indépendante et à la sécurité sanitaire nationale.
Il ne s’agit pas d’un simple différend administratif. C’est un signal d’alerte politique.
Lorsqu’un ministère chargé de l’agriculture interfère dans l’évaluation des risques sanitaires des pesticides, il devient juge et partie, et met en péril la santé publique.
Dans ce contexte, le maintien de la ministre actuelle, après de telles accusations, affaiblit la confiance du public et empêche la mise en œuvre d’une politique de transition agricole crédible.
Nous demandons donc son remplacement immédiat par une personnalité indépendante, compétente et résolument engagée pour la transparence et la santé environnementale.
Un désastre sanitaire et financier sous-estimé
Les chiffres disponibles dressent un constat accablant :
– Les coûts sociaux liés aux pesticides (santé, dépollution, perte de biodiversité) s’élèvent à minima à 370 millions d’euros par an en France, dont 260 millions pour le traitement de l’eau potable, et potentiellement jusqu’à 8,2 milliards d’euros1
– L’expertise INSERM (2021) a mis en évidence des liens forts ou moyens entre l’exposition aux pesticides et 16 pathologies graves, dont plusieurs cancers, maladies neurodégénératives et troubles de la reproduction.
– Les agriculteurs exposés présentent un risque accru de +47 % de lymphomes plasmocytaires et +25 % de myélomes.
– À l’échelle nationale, le nombre de cancers a presque doublé depuis 1990, avec une progression plus forte chez les femmes et les jeunes adultes.
Ces données illustrent la contradiction entre un discours officiel de réduction des pesticides et la réalité d’un système sous influence, où les arbitrages ministériels privilégient encore les intérêts industriels au détriment de la santé publique.
L’eau potable est la première victime silencieuse. Les contrôles de qualité montrent que plus d’un tiers des points de captage en France présentent des traces de pesticides ou de leurs métabolites au-delà des seuils réglementaires.
Certaines molécules interdites depuis plus de dix ans, comme l’atrazine, continuent de polluer les nappes phréatiques.
Le coût de la dépollution est exorbitant, mais la pollution, elle, reste légalement tolérée tant que les traitements permettent de “corriger” l’eau avant sa distribution. Cette logique est intenable : il faut prévenir la contamination à la source, pas seulement la traiter à la sortie du robinet. La situation exige un sursaut politique et moral. Nous vous demandons :
. Le remplacement de la ministre de l’Agriculture, afin de garantir l’indépendance de la politique publique sur les pesticides.
. La publication intégrale et sans censure du rapport du HCSP, avec les noms des experts consultés et les corrections demandées par le ministère.
. La réorientation des aides de la PAC pour un financement fort et engagé dans la transition agro-écologique
. L’intégration, dans la loi de financement de la sécurité sociale, d’un compte spécifique retraçant les coûts des pathologies environnementales afin d’en mesurer le poids réel.
Le courage politique ne consiste pas à temporiser, mais à protéger la population quand les faits sont établis.
La France ne peut plus ignorer le coût humain et financier d’une dépendance aux pesticides qui ruine notre santé, notre eau et notre modèle social.
Nous appelons votre gouvernement à faire preuve de transparence, d’indépendance et de responsabilité en plaçant la santé publique au-dessus des intérêts économiques sectoriels.
Dans l’attente d’une réponse claire à cette demande, nous vous prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, en l’expression de notre très haute considération
Le 18 juin 2025, la Cour de justice de l’UE a donné raison à Secrets Toxiques : la composition des pesticides ne peut plus rester cachée !
En 2022, avec Michèle Rivasi, Benoît Biteau et Claude Gruffat, nous avions demandé à l’EFSA la liste des coformulants du Captane, une substance active fongicide en passe d’être renouvelée.
Lorsqu’une firme souhaite faire homologuer ou renouveler une substance active au niveau de l’UE, elle doit transmettre des informations non seulement sur cette substance, mais aussi sur un exemple de produit qui en contient. Cette mesure prévue par le règlement européen permet, en principe, d’évaluer les risques du mélange entre substance active et coformulants avant que les États n’autorisent eux-mêmes les formulations.
L’EFSA, considérant que la liste des coformulants du Captane concernaient des « informations sur les émissions dans l’environnement », décide de nous la divulguer. En effet, la Convention d’Aarhus place l’intérêt du public à la divulgation de documents concernant les émissions dans l’environnement au-dessus de la protection des intérêts commerciaux des firmes.
Mais lorsqu’Arysta a été prévenue de la divulgation imminente de la composition de son produit, elle a formé un recours contre la décision de l’EFSA pour protéger ses intérêts commerciaux.
En attendant la décision du Tribunal, l’EFSA avait suspendu sa décision. Finalement, le Tribunal de l’UE a donné raison à l’EFSA et aux député.es qui la soutenaient en reconnaissant que les coformulants sont bien émis dans l’environnement !
Cet arrêt nous permet d’accéder à la composition du Captane, mais ce n’est pas tout.
Il va permettre de faciliter l’accès à la composition des produits, véritable secret de fabrique pour l’industrie et scandale sanitaire pour les citoyens.
En considérant que les co-formulants sont effectivement émis dans l’environnement, le Tribunal ouvre la voie à la découverte du pot aux roses : les formulations complètes sont plus toxiques que les substances actives seules et doivent être évaluées pleinement sur du long terme !
À Secrets Toxiques, nous militons depuis des années pour faire éclater cette vérité.
Soutenez votre santé et celle du vivant avec un don !
Il y a quelques mois, la coalition Secrets Toxiques a demandé à la Commission européenne de revoir sa copie concernant le dossier de réapprobation du glyphosate, Bayer, l’ECHA et l’EFSA ont rejoint la bataille pour maintenir la mise sur le marché de ce produit toxique… Une alliance qui fait prendre à ce dossier une autre dimension.
La bataille David contre Goliath est lancée, aidez-nous à la remporter !
Loin d’être surpris que Bayer se mêle au dossier pour soutenir la Commission européenne, il est par contre plus surprenant que des institutions sensées protéger notre santé et protéger l’environnement aient rejoint l’affaire.
Une belle preuve que Goliath a peur face à nos arguments et preuves que la décision de la Commission européenne est illégale.
Cependant, dans ce combat, chaque contribution compte. Nous avons besoin de vous pour que nous puissions continuer à défendre l’intérêt public et protéger la santé des agriculteurs, citoyens et de l’ensemble du vivant.
Soutenez nos actions !
Soutenez Secrets Toxiques en faisant un don pour nous permettre de continuer nos actions et d’aller encore plus loin dans la démonstration des failles sur l’homologation des pesticides comme celle du glyphosate !
Chaque euro compte, donnez ce que vous pouvez, les petits ruisseaux font les grandes rivières. Un don mensuel, même modeste nous permet de nous projeter dans nos actions juridiques, et vous pouvez déduire 66% de la somme de vos impôts. 😉
Le SEL (Système d’Échange Local) des 3 rivières (du pays de Quimperlé) organise une projection débat du film Secrets Toxiques
Le 5 octobre 2024
20 h
salle ELLE du Coat Kaër
Quimperlé (29)
Intervenante : Isabelle Georges – administratrice de Secrets Toxiques et membre de la direction collégiale de PIG BZH (Pisseurs et Pisseuses Involontaires de Glyphosate de Bretagne)
De même qu’en 2023, cette année, la CBG, Coordination gegen Bayer Gefahren a invité Secrets Toxiques à participer à l’AG des actionnaires de Bayer.
Cette AG s’est déroulée en visio, le 26 avril 2024.
Nous avons eu l’occasion de nous connecter sur le portail des actionnaires de Bayer, et d’intervenir en direct dans le streaming de l’AG pour leur poser une question.
Ci dessous l’audio et le texte lu à cette occasion par une mandataire de Secrets Toxiques
Mein Name ist Isabelle Georges von der Koalition Secrets Toxiques und ich spreche als Vertreterin.
Seit mehreren Jahren und insbesondere seit der Übernahme von Monsanto verkauft Bayer synthetische Pestizide auf unserer ganzen Erde.
Diese Produkte enthalten Substanzen, die Bayer als aktiv bezeichnet.
Zum Beispiel Glyphosat, das von der Europäischen Union im Jahr zweitausendvierundzwanzig wieder zugelassen wird, aber auch seine Ersatzstoffe in Produkten zur Biokontrolle, wie Pelargon- oder Essigsäure.
Diese Substanzen werden nie pur in den Kanistern verkauft, sondern mit anderen Bestandteilen kombiniert, was die Gesamttoxizität des Produkts erhöht. Mehrere Studien haben bewiesen, dass diese Produkte toxische Substanzen wie polyzyklische aromatische Kohlenwasserstoffe und Schwermetalle enthalten.
Die Mischung der Inhaltsstoffe in diesen Produkten wurde von US-Gerichten als verantwortlich für die von Anwendern gemeldeten Krankheiten anerkannt. Es handelt sich um karzinogene, reprotoxische und mutagene Stoffe.
Seit jahre zweitausendzwanzig musste Bayer-Monsanto mehr als sechzehn Milliarden US-Dollar für die Entschädigung von Hunderttausenden von Opfern dieser Produkte und für die Abwicklung der Gerichtsverfahren bereitstellen.
Würden die von Bayer vermarkteten Pestizide nach der Europäische Verordnung bewertet, d. h. unter Berücksichtigung der langfristigen Auswirkungen des vermarkteten Produkts, könnten sie keine Zulassung für den europäischen Markt erhalten.
Nur durch den Aufwand von Milliarden von Euro und massiver Lobbyarbeit, gegen den Willen von Millionen von Menschen, die ein Ende der Vergiftung ihrer Umwelt fordern, gelingt es Bayer, diese Produkte weiterhin am Markt zu halten.
Unsere frage : Wäre es nicht klüger, all diese Milliarden zu nutzen, um die Menschheit auf dem Weg zu einer Landwirtschaft zu begleiten, die alles Lebende respektiert, hin zu einer echten Agrarökologie?
« Ich bitte Sie, mit der Coordination gegen BAYER-Gefahren gegen die Entlastung des BAYER-Vorstandes zu stimmen. »
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Traduction en français
Mon nom est Isabelle Georges, de la coalition Secrets Toxiques et je parle en tant que mandataire.
Depuis plusieurs années, et notamment depuis le rachat de Monsanto, Bayer vend des pesticides de synthèse partout sur notre planète.
Ces produits contiennent des substances que Bayer décrit comme actives.
Par exemple, le glyphosate, qui a été ré-approuvé par l’Union européenne en 2024, mais aussi ses substituts dans les produits de biocontrôle, comme l’acide pélargonique ou acétique.
Ces substances ne sont jamais vendues pures dans les bidons, mais sont combinées avec d’autres ingrédients, ce qui augmente la toxicité globale du produit.
Plusieurs études ont prouvé que ces produits contiennent des substances toxiques telles que des hydrocarbures aromatiques polycycliques et des métaux lourds.
Le mélange d’ingrédients contenus dans ces produits a été reconnu par les tribunaux américains comme responsable des maladies signalées par les utilisateurs.
Ce sont des substances cancérigènes, reprotoxiques et mutagènes.
Depuis 2020, Bayer-Monsanto a dû consacrer plus de seize milliards de dollars américains pour indemniser des centaines de milliers de victimes de ces produits et gérer les procédures judiciaires.
Si les pesticides commercialisés par Bayer étaient évalués selon le Règlement Européen, c’est-à-dire compte tenu des effets à long terme du produit commercialisé, ils ne pourraient pas obtenir l’autorisation de mise sur le marché européen.
Ce n’est qu’en dépensant des milliards d’euros et en faisant un lobbying massif, contre la volonté de millions de personnes qui réclament la fin de l’empoisonnement de leur environnement, que Bayer pourra maintenir ces produits sur le marché.
Notre question :
Ne serait-il pas plus judicieux d’utiliser tous ces milliards pour accompagner l’humanité sur le chemin d’une agriculture respectueuse de tout le vivant, vers une véritable agroécologie ?
« Je vous demande de voter avec la CBG (Coordination gegen BAYER-Gefahren) contre la décharge du Conseil d’Administration de BAYER. »
Le 11 avril prochain aura lieu à Bruxelles un événement essentiel en ces temps difficiles pour la lutte contre l’empoisonnement du monde par les pesticides : les dirigeants de nombreuses mutuelles européennes se réunissent au Parlement européen, pour un colloque où elles se mobiliseront pour la santé et pour l’environnement après que plus de 30 d’entre elles représentant 18 millions d’européen·nes aient signé une tribune appelant à la mobilisation contre les effets néfastes des pesticides.
L’engagement des mutuelles de santé est un atout décisif dans la lutte contre l’empoisonnement par les pesticides. Avec votre participation, nous voulons faire de cette journée un moment historique pour construire les victoires futures
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Le programme de cette journée :
Colloque au Parlement Européen
De 14h à 16h
– Le colloque au Parlement européen : les organisations de défense de la santé, de l’environnement, et les syndicats sont invités à envoyer deux représentant·es en les inscrivant sur le formulaire en bas de ce mail
Programme du colloque
Goûter militant
A partir de 16h
Les participant·es à ces deux réunions se rassembleront Place du Luxembourg pour un goûter militant avec fanfare et prises de paroles. Votre organisation peut s’inscrire pour une prise de parole, de préférence en inscrivant une femme en tant qu’intervenante.
Attention : le temps étant restreint, nous ne pouvons garantir que chaque organisation présente pourra s’exprimer mais nous ferons le maximum.
Place du Luxembourg / prises de parole / intervenant.e.s
Nos intervenants vous donnent rendez-vous le Jeudi 11 avril 2024 16h00
Place du Luxembourg face au Parlement Européen à Bruxelles (gare du Luxembourg) à l’occasion du Goûter Géant pour une prise de parole autour de l’agriculture du XXIème siècle agoécologique et paysanne :
Isabelle Georges – Administratrice de la campagne Secrets Toxiques
Il présentera le festival Nourrir Bruxelles et les réseaux agricoles et alimentaires à Bruxelles.
Isabelle Marchand – Membre du Collectif de soutien aux victimes des pesticides de l’ouest et maman de Cloé intoxiquée par les pesticides. Soutien aux victimes des pesticides de l’Ouest
Nicolas Van Nuffel – Président de la Coalition Climat Belge. KlimaatCoalitie
Mickaël Derangeon –Vice-président d’un syndicat d’alimentation en eau potable Franç ais, docteur en biologie cellulaire et physiologie.
Patricia Willocq – Founder and director at Stop Ecocide Belgium Stop Ecocide Belgium
Claude Gruffat Entrepreneur en Bio, co fondateur de Biocoop en France, Écologiste élu au Parlement européen depuis 4 ans. Lutte contre les pesticides et les OGM depuis 35 ans.
Gilles-Eric Séralini – Professeur de biologie et chercheur international travaillant sur les effets des polluants sur la santé, notamment les OGM et les pesticides.
Claude Rollin –Président du Conseil d’administration de la Mutualité Chrétienne Mutualité Chrétienne
Moment convivial entre associations et mutualistes
De 18h30 à 19h45
La Mutuelle Solidaris nous invite à un moment convivial entre associations et mutualistes, pour prendre contact et apprendre à se connaître, dans ses locaux au numéro 1 de la Place Saint Jean à Bruxelles (Sur inscription – voir ci-dessous)
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Nous vous invitons chaleureusement à venir nombreuses et nombreux à cette journée pour construire avec nos partenaires européens les mobilisations à venir !
Amenez également vos banderoles, drapeaux, flammes pour être visibles le jour J !
Merci de signaler par email à nathan.secretstoxiques@proton.me :
1. si votre organisation est intéressée
2. à combien vous viendrez, et si vous participerez au colloque, au café militant, au rassemblement Place du Luxembourg, à la rencontre à Solidaris ou à plusieurs de ces événements
3. Si vous souhaitez prendre la parole au rassemblement
4. si vous avez des bénévoles disponibles pour faire partie de l’encadrement du rassemblement et combien
5. si vous venez de France et que vous souhaitez covoiturer (conducteur ou passager), remplissez ce tableau (https://docs.google.com/spreadsheets/d/1Y0fAvxsHzILSVtE6hm_33gQaE1CI5NwqDu23YfK2jG8/edit#gid=0) pour être mis en relation avec de potentiel·les covoitureurs·euses
Nous espérons que nous serons nombreuses et nombreux pour cette importante journée, et dans l’attente nous vous adressons nos salutation militantes !
Le comité de mobilisation pour le 11 avril
Secrets Toxiques, La Mutuelle Familiale, Solidaris, Uni-Terre
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