1,2 million de citoyennes et citoyens de l’UE se sont exprimé.e.s
Délai dans la vérification des signatures en Allemagne
“Nous espérions vous annoncer l’entrée dans la prochaine étape de notre ICE. Cependant, et du fait d’un problème technique, nous faisons face à un délai supplémentaire dans le processus de vérification des signatures collectées en Allemagne. Nous sommes actuellement en dialogue avec les autorités à ce sujet. Nous vous tiendrons informés dès que possible.” Source : l’Équipe ICE / newsletter du 16 septembre 2022
Le lobby agrochimique a orchestré de nombreuses réactions à la consultation sur la proposition de nouveau règlement européen en matière de réduction des pesticides.
Ce règlement encadrera l’utilisation des pesticides pour les nombreuses années à venir : il pourrait donc changer la donne…
Mais il est fortement attaqué, en plus de manquer cruellement d’ambition ! Face à l’industrie des produits chimiques, nous devons nous faire entendre.
Consultation publique européenne sur les pesticides : ouverte jusqu’au 19 septembre
Contexte
La Commission européenne a présenté une proposition visant à réduire l’utilisation des pesticides.
Ce nouveau règlement est un pas en avant, mais les objectifs proposés sont trop faibles.
Le lobby agrochimique et certains pays tentent de l’affaiblir encore.
Il est important que les citoyens et les organisations fassent entendre leur voix à tous les niveaux.
Veuillez montrer que vous soutenez une réglementation pesticides plus forte et beaucoup plus ambitieuse.
Nous vous fournissons la proposition de l’initiative Save Bees and Farmers Citizens à titre d’exemple.
Outil pour faciliter votre participation
Le Pesticide Action Network (PAN Europe) a développé un outil pour faciliter votre participation à cette consultation en plusieurs langues (allemand, anglais, croate, espagnol, français, italien et néerlandais). Demandez aussi à vos amis et connaissances de participer.
Faites vite, car la consultation est ouverte jusqu’au lundi 19 septembre, 23h59.
Si vous ouvrez la page du site de l’UE, elle ressemble à une consultation terminée.
Faites défiler la page vers le bas et vous verrez le bouton jaune pour la consultation en cours.
Merci de nous soutenir dans notre combat pour la biodiversité et pour un monde sans pesticides.
Faites en sorte de vous faire entendre à chaque fois que l’opportunité se présente.
Partagez cette newsletter ainsi que nos publications sur les réseaux sociaux.
De plus, avec un don, vous aidez l’initiative Sauvons les abeilles et les agriculteurs à entrer dans sa phase officielle – ainsi, les voix de 1,2 million de citoyennes et citoyens de l’UE seront entendues.
Pour cela, il suffit de cliquer ci-dessous : Je fais un don maintenant
Nous serons présent.e.s à la foire régionale de Mûr de Bretagne ce week end.
Retrouvez nous dans l’espace associatif
Nous partagerons notre stand avec le comité de Soutien aux Faucheurs Volontaires, les Faucheurs Volontaires BZH et BCLFU (Bretagne contre les Fermes Usines)
Le Collectif Vigilance méthanisation Corcoué, la tête dans le gaz,
vous invite
samedi 17 septembre 2022
à
une manifestation festive contre le projet de Méthaniseur XXL.
Venez nous rencontrer, vous informer et manifester contre les dérives de la Méthanisation XXL.
Il est urgent de réagir car le dossier est actuellement sur le Bureau du Préfet. La préfecture doit décider prochainement de partir en enquête publique ou non. Et nous aimerions être nombreux afin de ne pas relâcher la pression.
Pour les collectifs ou associations qui aimeraient prendre la parole ou tenir un stand après la déambulation c’est tout à fait possible (merci de nous en informer pour l’organisation)
Bonne journée
Dom pour le collectif vigilance Méthanisation Corcoué
Il semblerait que la Presse Quotidienne Régionale ait du mal à compter les manifestant.e.s ou ait du mal avec les chiffres, tout court.
Le lien sur l’article du Télégramme mentionne bien 700 personnes mais l’article et notamment son titre reprennent “plus de 400”, Ouest France compte 500, ou 350, complètement fantaisiste, c’est comme on veut …
Bref, rectificatif, nous étions plus de 1000 et nous serons toujours de plus en plus nombreux
Suite à l’assemblée générale d’AEPI (Avenir et environnement en Pays d’Iroise) du mercredi 10 août 2022, où il avait été évoqué d’aller plus loin dans la mobilisation contre l’extension de l’élevage porcin Avel Vor, à Landunvez, un collectif d’opposants a décidé d’organiser une marche citoyenne.
« Stoppons l’extension de la porcherie Avel Vor »
Samedi 27 août 2022, à 14 h 30,
au départ du parking de la salle omnisports de Landunvez.
Habillé en noir et en bottes
« Le cortège prendra la forme d’un hommage funeste au territoire et effectuera une boucle de 1 km », annoncent les organisateurs, qui demandent au public de venir chaussé de bottes et habillé en noir. La manifestation se fera au rythme de la fanfare et des danses.
Écologie Enquête
Pour plus d’un quart des Alsaciens, l’eau du robinet dépasse les normes de concentration en pesticides
Dans le Bas-Rhin, des dépassements des limites de qualité ont été constatés dans trente-six unités de distribution qui alimentent en eau potable plus de 300 000 habitants, soit un quart de la population.
Le Haut-Rhin est touché dans des proportions similaires.
Strasbourg (Bas-Rhin).– Les pesticides ont de la ressource. Une fois épandus dans les champs, ils se dégradent au contact de leur environnement et donnent naissance à une nombreuse progéniture.
Leur nom : les métabolites de pesticides. En Alsace, ces substances sont désormais omniprésentes dans l’eau, de la nappe phréatique jusqu’au robinet.
Aujourd’hui, plus d’un quart de la population alsacienne reçoit au robinet de l’eau dont la concentration en métabolites de pesticides dépasse, de
manière ponctuelle ou récurrente, la limite fixée par la loi.
Rue89 Strasbourg a retrouvé un document de présentation, produit par l’Agence régionale de santé du Grand Est (ARS) à l’occasion de la 22e rencontre des producteurs et distributeurs d’eau potable, et publié le 4 mars 2022 sur le site Internet de l’Aprona, l’observatoire de la nappe phréatique
d’Alsace.
Il vise à dresser un état des lieux des contaminations de l’eau potable par les métabolites de pesticides en Alsace.
Selon ce document, dans le Bas-Rhin, des concentrations en métabolites de pesticides dans des quantités supérieures à la limite de qualité (voir encadré) ont été constatées dans trente-six unités de distribution (UDI) – dans les réseaux de canalisation, en d’autres termes.
Ces UDI alimentent en eau potable 300 191 Bas-Rhinois, soit un quart de la population du département.
Le Haut-Rhin est touché dans des proportions similaires. Au moins une concentration en métabolites de pesticides au-dessus des seuils règlementaires est observée dans vingt-deux UDI, qui fournissent en eau potable 271 288 personnes, soit 35 % des habitants du département. « À ce jour, dans le Haut-Rhin, vingt-cinq unités de distribution (dont six en cours de caractérisation) alimentant 278 000 personnes présentent des dépassements confirmés et récurrents de la limite de qualité », précise l’ARS avec les dernières données disponibles.
Enfin, il n’y avait aucune donnée disponible au 1er janvier 2022 pour 33 % des UDI du Bas-Rhin, ni pour 22 % des UDI du Haut-Rhin. Les petites unités de distribution sont moins fréquemment contrôlées, ce qui peut expliquer en partie cette absence de données.
74 communes sous le coup d’un arrêté dérogatoire
Face à l’ampleur des contaminations, plusieurs collectivités ont dû déposer auprès de l’ARS et de leurs préfectures respectives des demandes de dérogation pour continuer à distribuer une eau non conforme. Ces dérogations permettent d’établir de nouveaux seuils réglementaires temporaires, plus élevés, de concentration d’une ou de plusieurs molécules dans l’eau potable. Ils sont valables trois ans, reconductibles une fois. Pour les obtenir, les collectivités doivent présenter un plan d’action visant à revenir à une situation de conformité.
Contacté, le service communication de l’Agence régionale de Santé ajoute : « En cas de dépassement de limite de qualité réglementaire, l’ARS examine si les valeurs sanitaires sont respectées afin d’établir l’absence de risque pour la santé des consommateurs. Dans ce cas, des dérogations permettant d’encadrer ces dépassements doivent être mises en œuvre à la demande de
la personne responsable de la production et de la distribution de l’eau. »
Entre le 24 juin et le 21 juillet 2022, la préfecture du Bas-Rhin a délivré sept arrêtés dérogatoires.
Soixante-quatorze communes et les quelque 160 000 personnes qui y habitent pourront recevoir, dans les trois voire les six années à venir, une eau dont la concentration en métabolites de pesticides est supérieure aux normes. Quinze unités de distribution présentent des dépassements, d’après l’ARS. Les secteurs de Sélestat, Benfeld et Erstein Sud, Soufflenheim et alentour, la communauté de communes de la Basse-Zorn, et une partie de la communauté d’agglomérations d’Haguenau sont concernés.
L’unité de distribution d’Erstein Nord, qui alimente cinq communes et 4 967 habitants, serait, selon le Syndicat des eaux et de l’assainissement (SDEA) d’Alsace-Moselle, sous contrôle renforcé. Cette étape suit la détection de dépassements des normes et peut précéder une demande de dérogation si les non-conformités se confirment.
L’Eurométropole de Strasbourg n’est, à ce stade, pas touchée par cette problématique.
Dans le Haut-Rhin, aucun arrêté dérogatoire n’a pour le moment été pris. Mais le service des eaux de Mulhouse, qui alimente 109 588 personnes, et la communauté de communes du Sundgau (47 562 habitants) ont déposé des dossiers de demande de dérogation, toujours en cours de traitement.
Un herbicide utilisé dans les champs de maïs
Trois métabolites de pesticides sont impliqués de façon récurrente dans les dépassements de seuils règlementaires : le métolachlore ESA, le métolachlore NOA, et le chloridazone desphényl.
Les deux premiers sont nés de la dégradation d’une molécule, le S-métolachlore, un herbicide toujours autorisé et massivement utilisé dans les cultures de maïs. Les exploitations de ce que certains appellent « l’or jaune », en raison de son caractère particulièrement rémunérateur, couvrent 40 % de la surface agricole en Alsace.
Le chloridazone, substance mère à l’origine du chloridazone desphényl, est lui aussi un herbicide, que l’on retrouvait majoritairement dans les champs de betteraves. Il est interdit depuis 2018.
Plus rarement, des traces de chloridazone méthyl-desphényl, métabolite issu de la dégradation d’un herbicide interdit en 2018, et d’atrazine deséthyl-déisopropyl, un métabolite de l’atrazine, interdit
en 2003, sont détectées dans les eaux potables alsaciennes.
Tous ces métabolites sont classés comme « pertinents » par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Ce qui signifie qu’ils « pourraient engendrer un risque sanitaire inacceptable pour le consommateur ».
La question des risques sanitaires liés à une exposition aux métabolites de pesticides reste difficile à cerner.
La présence de métabolites de pesticides dans l’eau potable est très variable en fonction du territoire. La commission locale du SDEA de Sélestat a obtenu un arrêté dérogatoire après avoir constaté des concentrations de 0,12 μg/l en métolachlore ESA dans leur réseau d’eau. Pour rappel,
la limite de qualité est de 0,1 μg/l. La nouvelle norme de concentration temporaire fixée par l’ARS est de 0,5 μg/l. Le dépassement de ce seuil dérogatoire peut entraîner une restriction d’usage de l’eau potable.
Les communes de Bischwiller (12 615 habitants) et Rohrwiller (1 627 habitants) sont alimentées par un même forage et une même usine de production d’eau potable implantée à Rohrwiller. Elles
bénéficient aussi d’une dérogation, mais pour des concentrations autrement plus importantes. En mars 2022, l’analyse d’un prélèvement chiffre à 3,5 μg/l la concentration de métolachlore ESA dans
les canalisations à Rohrwiller, soit trente-cinq fois plus que le seuil règlementaire.
Les déjections d’oiseaux marins engendreraient-elles les pollutions qui interdisent la baignade à la plage du Château, à Landunvez ?
Des analyses complémentaires pointent cette trace.
« Baignade et pêche à pied interdites ». L’avertissement apparaît clairement sur le panneau planté à l’entrée de la plage du Château. Cette situation perdure depuis 2019.
Mais le maire de Landunvez, Christophe Colin, ne se contente pas de faire appliquer la loi après que les analyses de l’Agence régionale de santé ont régulièrement détecté une trop grande concentration d’Escherichia coli et de streptocoques, des bactéries présentes dans les intestins, potentiellement toxiques.
Avec le soutien financier de Pays d’Iroise communauté, la mairie enquête pour savoir quel animal à sang chaud (dont l’homme) a provoqué les analyses « mauvaises » ou même « moyennes » de la qualité des eaux de baignade.
Les oiseaux deux fois sur trois
Chaque double de flacon épinglé par l’ARS est confié à Labocéa.
Sur les trois alertes « rouge » de l’été 2021, plage du Château, le laboratoire public a confirmé l’origine humaine et le défaut d’assainissement individuel, déjà repéré et réparé.
Les deux autres ont révélé une origine plus inédite : « La pollution proviendrait des oiseaux de mer. Ce que nous avions aussi découvert après une alerte sur la plage de Verlen », retrace Christophe Colin.
Les nuées de goélands aperçues, le soir, posées sur ces plages, agitent l’hypothèse d’un lien entre eux et la contamination.
Sa validation dépendra toutefois du recueil de données durant plusieurs saisons, et de leur lecture, en collaboration avec l’ARS.
« On ne peut pas organiser du ball-trap ! »
En imaginant l’embarras, pas seulement sur les côtes de Landunvez, si les fientes de mouettes ou de goélands s’avéraient, effectivement, un danger récurrent pour la santé des baigneurs. « On peut agir pour mettre aux normes les équipements des habitations et des élevages.
Mais pour les oiseaux marins, on fait comment ? », interroge Rachel Jaouen, adjointe à l’urbanisme et à l’assainissement. « On ne peut quand même pas organiser du ball-trap sur la plage ! ».
Sept plages sur huit ouvertes à la baignade
Sentent-ils déjà le vent du boulet ?
Les volatiles gardent leurs distances (en journée, du moins) en cet été de forte concentration touristique sur le littoral du pays d’Iroise.
« Au 2 août, date de la dernière analyse, il n’y a pas encore eu d’alerte de l’ARS », précise l’élue, espérant que les efforts finissent par payer et que la baignade retrouve pleinement ses droits.
Malgré l’interdiction, des particuliers regoûtent d’ailleurs déjà au plaisir du piquage de tête sur ce magnifique spot du Château. Les plus prudents ont d’autres plans sympas à proximité.
Sept des huit plages de Landunvez restent ouvertes à la baignade, dont celle de Trémazan, à même pas un vol d’oiseau.
« On ne peut pas s’arrêter aux plages », considère, plutôt logiquement, le maire de Landunvez, Christophe Colin, à propos des pollutions. En plus des marquages d’origine animale après les alertes de dépassement de seuils venant de l’ARS, la commune a mené, en 2021, une campagne de détection en amont. Six capteurs bactériologiques ont été disposés le long du ruisseau de 5 km qui se déverse sur la plage du Château.
Une seule marque de porcins
En zone urbaine, en partie raccordée au tout à l’égout, des marqueurs de déjection de ruminants sont apparus. Près des terrains privés occupés par des caravanes, l’été, ce sont des traces humaines qui ont été perçues. Quant aux analyses du détecteur proche du terrain de foot, à 600 mètres de la porcherie Avel Vor dont la demande de régularisation d’extension divise la population, « il a révélé une fois, en janvier 2021, des marques de porcins au-dessus des seuils », indique le maire. « Ce marquage avait disparu au point d’analyse suivant, en aval. Il n’a pas atteint la plage », prolonge Rachel Jaouen, son adjointe à l’urbanisme et à l’environnement.
Naturellement, les deux élus ne s’attendent pas à convaincre les associations vent debout contre le projet d’extension. « Je leur ai pourtant ouvert les portes pour présenter ce travail qui reprendra, avec une nouvelle campagne, à la rentrée. Aujourd’hui, ma seule responsabilité légale, c’est la plage. On va au-delà. Nous ne sommes pas à l’abri d’un accident de tonne à lisier. Il faut essayer de le maîtriser. Je le répète : je préfère un gros élevage aux normes et régulièrement contrôlé qu’un petit qui pollue ».
Chevaux et moutons changent d’air en été
Par prévention, le propriétaire de chevaux et de moutons a accepté de ne pas les laisser en pâture dans un champ voisin de la plage du Château, du 15 mai au 15 septembre. Les habitants sont également sollicités : « 130 courriers ont été adressés à des foyers du bassin-versant, demandant de mettre aux normes les installations d’assainissement défaillantes ». Avec un coût non négligeable que la communauté de communes du pays d’Iroise pourra, un peu, soulager.
« Des comportements individuels sont parfois réprimables mais, la plupart du temps, quand nous remontons à la source d’une pollution, nous rencontrons des gens désolés et de bonne composition ».
Remise d’une liste de participant.e.s solidaires aux autorités judiciaires
À Lorient, ce mercredi 3 août 2022, Jérôme Bouquet, avocat au barreau de Rennes, mandaté par le collectif a déposé une liste de noms de citoyens engagés contre les fermes usines.
Déclaration de Jérôme Bouquet :
« Quatre personnes ont été placées sous contrôle judiciaire, j’ai remis au magistrat chargé de l’instruction une liste de 20 autres personnes qui attestent avoir participé à l’action de blocage du train de céréales. Toutes indiquent se tenir à la disposition des autorités judiciaires et précisent ce qui les a poussés à agir solidairement ».
Manifestation de soutien aux activistes
Une manifestation de soutien aux activistes participant à l’action de blocage du train de St Gérand le 19 mars 2022 a eu lieu à Lorient ce 3 août.
Parmi la cinquantaine de personnes mobilisées devant le tribunal correctionnel de Lorient, ce mercredi 3 août en fin de matinée, 20 activistes ont déclaré publiquement avoir participé au blocage d’un train de céréales en… ➡️ https://t.co/4j3mlDmUxJpic.twitter.com/x9HhjYjQZU
Inès Léraud et Kristen Falc’honpublient ce mardi leur première enquête pour Splann !.
À Landunvez (29), Avel vor produit près de 27.000 porcs par an, représentant 22.000 tonnes de lisier et 38 tonnes d’ammoniac.
Malgré des jugements contraires et une enquête publique contestable, l’exploitation d’un des patrons du lobby porcin prend le chemin d’une régularisation par le préfet.
L’agro-industrie va droit dans le mur, nous devons la mettre à terre!
Camarades, ami.es,
Perquisitions, contrôle judiciaire des militants
A la suite de l’action de blocage d’un train alimentant l’élevage industriel, menée par le collectif Bretagne contre les fermes-usines le 19 mars 2022, les domiciles de militants ont été perquisitionnés et quatre personnes ont été placées sous contrôle judiciaire.
Nous vous remercions pour le soutien que vous nous avez d’ores et déjà exprimé.
Enquête en cours
Le processus d’enquête est en cours.
De notre côté, avec nos avocats, nous organisons une défense collective.
Les modes d’action traditionnels étant restés insuffisants, il importe d’agir selon l’état de nécessité et de s’interposer par des actions concrètes. Nous allons faire de ce procès celui de l’agro-industrie.
Nous nous engageons dans un processus qui va être long et tumultueux mais qui mettra à terre ce démentiel système agro-industriel hors-sol ! Nous n’avons plus le temps d’attendre.
Procès de l’agro-industrie : 2ème acte
Alors, rejoignez-nous pour le second acte,
Mercredi 3 août 2022
11h30
Tribunal judiciaire de Lorient
Notre avocat Maître Bouquet Elkaïm va remettre au juge d’instruction une liste de personnes ayant participé, le 19 mars, au bon déroulement de l’action de dénonciation de l’agro-industrie. À cette occasion, nous donnerons devant le tribunal une conférence de presse expliquant nos motivations.
Cette prise de parole sera suivie d’un pique-nique urbain et militant.
Montrons-leur que la lutte contre l’agro-industrie est déterminée et que leur récente démonstration de force ne nous fait pas peur.
L’agro-industrie doit être reconnue coupable!
Merci de relayer l’information au sein de votre réseau, merci pour votre soutien.
À très vite,
Les militant.es du collectif Bretagne Contre les Fermes Usines
Vendredi 8 juillet, plage des Rosaires, 1ère séquence menée par Extinction Rébellion et Halte Aux Marées Vertes sur un mode ludique : magnifique panneau passe-tête, quiz et glaces aux algues vertes…
Distribution du flyer ci-joint (A4 plié – n’hésitez pas à le faire circuler).
Merci à Alain Goutal pour ses dessins et merci à la graphiste.
Cette sensibilisation à la problématique des marées vertes a été globalement très bien accueillie par les plagistes, quel que soit leur niveau de connaissances sur le sujet. La population était surtout locale (touristes pas encore arrivés).
Bons échos dans les médias également, qui ont insisté sur les modalités ludiques plutôt que sur les motifs de fond (sujet qui fâche).
Articles du Ouest France et du Télégramme de samedi, en pièces jointes.
FR3 BretagneJT 12/13 : voir le 1er sujet développé
La TV allemande ARD prépare un post sur Instagram à ce sujet.
Le journal Le Parisien viendra peut-être sur place la prochaine fois.
Poursuivre avec votre aide
Il nous faut désormais étoffer nos rangs pour les 6 prochaines opérations prévues sur 6 plages différentes, jusqu’au 19 août !
Nous comptons sur les volontaires pour se faire connaîtrepar un petit mel : nous vous communiquerons alors les dates et les lieux pour que vous puissiez choisir la/les date(s) de votre participation : halteauxmareesvertes@laposte.net
Prévoyez la crème solaire (et même le maillot de bain si ça vous dit). Merci !
2) ALGUES VERTES ENCORE DANS LA PRESSE
Dans le n° spécial de Courrier international du 7 juillet , « La Bretagne vue par la presse étrangère », article «L’invasion des algues vertes, un désastre si prévisible ». C’est la la traduction d’un article paru en anglais en février dans le Financial Times, suite à l’entretien de HAMV avec un journaliste anglais à Hillion.
Les capteurs de H2S sur ARTEle 9 juillet (2mn30) :
Vendredi 8 juillet, plage des Rosaires, 1ère séquence menée par Extinction Rébellion et Halte Aux Marées Vertes sur un mode ludique : magnifique panneau passe-tête, quiz et glaces aux algues vertes…
Distribution du flyer ci-joint (A4 plié – n’hésitez pas à le faire circuler).
Merci à Alain Goutal pour ses dessins et merci à la graphiste.
Cette sensibilisation à la problématique des marées vertes a été globalement très bien accueillie par les plagistes, quel que soit leur niveau de connaissances sur le sujet. La population était surtout locale (touristes pas encore arrivés).
Bons échos dans les médias également, qui ont insisté sur les modalités ludiques plutôt que sur les motifs de fond (sujet qui fâche).
Articles du Ouest Franceet duTélégramme de samedi, en pièces jointes.
FR3 BretagneJT 12/13 : voir le 1er sujet développé
La TV allemande ARDprépare un post sur Instagram à ce sujet.
Le journal Le Parisien viendra peut-être sur place la prochaine fois.
Poursuivre avec votre aide
Il nous faut désormais étoffer nos rangs pour les 6 prochaines opérations prévues sur 6 plages différentes, jusqu’au 19 août !
Nous comptons sur les volontaires pour se faire connaîtrepar un petit mel : nous vous communiquerons alors les dates et les lieux pour que vous puissiez choisir la/les date(s) de votre participation : halteauxmareesvertes@laposte.net
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